• Chapitre 02 [10m => 20m]

    - Au revoir Horace. Au revoir.

    Draco : Mais comment ça se fait qu’on à dû le supporter aloooors !

    Théodore : Pchut.

    - [… ] Et une augmentation nous vivons dans une époque de folie ! De folie.

    Draco : En même temps… vu comment il est fou.

    Moldu 1 : Mais vous allez la FERMER !

    Dracoet Théodore : (en même temps) Non.

     

    - Tu es talentueux, célèbre et puissant.

    Draco : Il a dû le confondre avec moi.

    - Tout ce qu’Horace apprécie.

    Draco : Et mon œil oui. Il ne m’aimait pas le vieux crouton.

    Blaise : Personne ne t’aime en même temps Draco.

    Théodore : J’avoue.

     

    - Tu serais le joyau de sa collection, c’est pour ça qu’il va revenir à Poudlard.

    Draco : Génial… au moins maintenant nous avons trouvé le fautif de son retour.

    Blaise : Rooh arrête de râler et suis un peu le pilm.

    Hermione : On dit film… (Devine le regard noir de Blaise, même dans une salle sombre) Enfin… on dit ce qu’on veut après tout.

     

    Vu du terrier.

    Draco : Pathétique. Quel trou à rongeur.

    Ginny : (muette jusque là)  Au moins c’est convivial Malfoy. Et si ça ne te plait pas… du vent.

    Théodore : Tu veux dire que ça ressemble à ça… vraiment ?

    Ginny : Oui Nott !

     

    Mégane : Qu’est ce que tu fais encore Ysa ? (à une Ysaline retournée)

    Ysaline : J’ai cru que… non rien.

    Mégane : Que quoi ?

    Ysaline : Non non rien…

     

    - Hedwige ? Mamaaan !

    Blaise : Oh la phrase de choc !

    Ginny : La ferme Zabini.

    Blaise : (l’imite) Hedwige ?

     

    - Harry ? Harry qui ?

    Blaise : Haricot Vert pardi.

    - Harry Potter bien sur.

    Blaise : Perdu. J’essaye encore.

     

    - Oh non mon chou, ça j’en doute sérieusement.

    Blaise : (se moque encore) Oh non mon chou-ou. Mon chou-ou tu veux un miam-hiboux Wou-Hou.

    Ginny : La ferme Zabini

    Blaise : Si je continue, mon chou-ou me passera la corde au cou-ou.

    Ginny : Crois moi, c’n’est pas l’envie qui me manque.

     

    - Harry ? Quelqu’un à dit Harry.

    Draco : Granger ? Ton rouquin te trompe avec Potter.

    Hermione : Ce n’est pas mon rouquin, Malfoy.

    Blaise : Celui de qui alors ?

    Hermione : Il est le (mime des guillemets) Ron-Ron à sa (recommence son geste) Lav-Lav.

    Blaise : (aux deux garçons) Elle est jalouse.

    Théodore : (agressif) Noon tu crois.

     

    - Tu avais du… dentifrice.

    Draco : Woua, raffiné Granger. Tes parents n’t’ont jamais appris à laver tes dents de castor proprement ? Si même Wesel le remarque…

    Hermione : Tu…

    Théodore : Le laisse parler. Il est fier de sa connerie…

    Draco : T’es du côté de qui là, Théo ?

    Théodore : Devine. J’vais pas défendre un idiot.

    Draco : Mais tu défends une idiote… quelle logique.

     

    - Maman à un peu disjoncté la semaine dernière. Elle a dit qu’on retournerait pas à Poudlard Ginny et moi.

    Blaise : Ca aurait été …

    Draco : Merveilleuuuuuux.

    Théodore : Bizarre.

    Blaise : J’allais dire merveilleusement bizarre donc.

     

    -[…] Que Dumbledore est trop vieux.

    Draco : Il a quel âge lui ?

    - C’est débile il n’a queee… Il a quel âge ?

    - 150ans.

    Blaise : J’pense que c’est dans cet ordre là oui…

    Draco qui brûle pour réchauffer les trois.

    Draco : Hey ! Mais… on me brûle là !

     

    - Cissy, ne fais pas ça. On ne peut pas lui faire confiance.

    Draco : Je… Je rêve là, non ? Ils ont quand même pas fait ma mère et ma tante… si ?

    Théodore : Baaah, si ils ont fait Greyback, pourquoi pas toi ?

    Blaise : C’est qui le « lui » ?

    Hermione : Pchut.

    - Le seigneur des ténèbres lui fait confiance.

    -  Le seigneur des ténèbres fait une erreur.

    Théodore : De qui elles parlent là ? Je savais ta famille dérangée Draco…

    Hermione : Mais à ce point ça en devient inquiétant.

     

    Pettigrow ouvre la porte.

    Ysaline : Arg. ! J’suis allergique aux poils de rats cafardeux. J’ai peur ! Mamaaaan.

     

    Blaise : C’est vrai qu’il a une tête de rat.

     

    Bastien : Rooh mais tu sais pas être sérieuse deux secondes toi, si ?

    Ysaline : Noon.

     

    Théodore : Blaise ? Il y a un verbe très intéressant qui s’appelle se taire.

    Moldu 1 : Et vous devriez le mettre en pratique jeune homme.

    Théodore : (à Blaise) Mais ne le met pas en pratique (sourire Colgate au grincheux) Et pour vous il y en a un qui est « se mêler de ses affaires ».

     

    Rogue abaisse son journal.

    Ysaline : ROOOOOOOOOOGUE ! C’est Roooooooooooogue !

    Anna : (inspirant et parlant comme si elle était conne –Ysa-) Ysa… nous sommes dans un cinéma ; nous regardons un film ; il y a d’autres gens dans la salle ; tu comprends jusque là ?

    Ysaline : Ouaip.

    Anna : Tu es donc prié de…

    Jessie : Fermer ta gueule ! Ou je te bâillonne.

    Ysaline : T’oserais paaas.

    Jessie : Bah tiens, j’vais m’gêner.

     

    Draco : J’préfère ça… Pettigrow sert donc d’elfe à Rogue… rassurant.

     

    -Si le seigneur des ténèbres t’as dit de ne pas parler… pose ça Bella, on ne touche pas.

    Théodore : On dirait qu’il parle à un môme là.

    Moldu 1 : Heureusement qu’on en croise pas tous les jours des gens comme vous.

    Théodore : (grinçant) Dommage que je ne puisse pas vous faire taire d’un bon bloc langue.

    Moldu 1 : Vous avez trop regardé Harry Potter jeune homme.

    Théodore : En même temps il était dans ma classe, vieux chnoque…

    Moldu 1 : (la bouche ouverte) Hein ?

    Hermione : (la tête entre les mains) Noooott. Et après TU es intelligent.

    Blaise : Rooh, mais il l’est… seulement il a la patience d’un caramel mou au soleil.

     

    Ysaline : Vous entendez rien.

    Bastien : Si… toi qui parle.

    Ysaline : Non mais… des voix.

    Bastien : Les acteurs… peut être.

    Ysaline : Mais non, en plus du film.

    Bastien : Il n’y a pas que toi qui a la fâcheuse manie de parler pendant le film.

    Ysaline : Je vois ça… toi aussi.

     

    -Ce n’est qu’un enfant.

    Draco : Comme si je devais être protéger. Un Malfoy se débrouille tout seul !

    Moldu 1 : Vous sortez d’où vous ? D’un HP ?

    Théodore : De Poudlard.

    Moldu 1 : C’est que vous vous moquez de moi en plus.

    Hermione : Noooott n’aggrave pas ton cas, s’il te plaît.

    Théodore : Mais il me croit paaas Granger.

    Moldu 1 : (perdu) Granger !  Malfoy !

     

    Magasin des Weasley.

    Blaise : (émerveillé) La classe !

    McLaggen sourit à Hermione.

    Draco : T’as une touche le castor.

    Moldu1 : (ne regarde plus le film et fixent les 5 sorciers) Vous… non, vous… vous rigoliez hein. (Sérieux) On ne se moque pas des gens de la sorte.

    Théodore : Vous savez à qui il me fait penser ?

    Draco : Laisse-moi deviner…  Potter dans quelques années… aussi bêtes ?

    Théodore : Non non… à toi… aussi stupide.

     

    - C’est combien ça ?

    - 5 Gallions.

    - Et pour moi ?

    - 5 Gallions.

    - J’suis votre frère.

    Théodore : Je suis sur qu’ils vont faire une crasse.

    - 10 Gallions.

    Blaise : Bravo Théo. Tu pourrais être séparatiste.

    Hermione : On dit scénariste.

    Moldu 1 : Mais lui là, le Nott… il est pas sorcier.

    Théodore : Non j’suis un dragon.

     

    Draco et Narcissa vont à l’allée des Embrumes. Les trois les suivent.

    Draco : Hum hum… Granger.

    Hermione : Comme si tu t’en doutais pas.

    Moldu 1 : Vous êtes pas vraiment sorciers hein.

    Théodore : Granger ! J’peux lui prouver qu’il est stupide ?

    Hermione : Fais ce que tu veux.

    Théodore : (sourit et sort sa baguette) Regardez.

    Moldu 1 : Un bout de bois tout bête.

    Théodore : (offensé) Ne parlez pas de ma baguette comme ça, non mais. 35,8cm, bois de houx, ventricule de dragon.

    Moldu 1 : Servez vous en dans ce cas.

    Théodore : Sans problème vieux bonhomme. Wingardium Leviosa. (Le sac de Hermione s’envole et viens taper sur la tête du moldu, sous le sourire innocent de Théodore et le regard exaspéré de sa voisine) vous me croyez maintenant.

    Moldu 1 : Comment se fait il que vous soyez ici ? Vous… vous n’existez pas.

    Théodore : Dans ce cas, j’suis au regret de vous apprendre que vous êtes fou et parlez seul.


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