• - Vous, cracha Harry les yeux emplis de haine. Vous !

    Le garçon à la cicatrice en forme d'éclair porta sa main en direction de sa poche arrière. Il n'y trouva que du vent ; sa baguette s'y trouvait pourtant, deux secondes plus tôt. Intrigué, le survivant se retourna et dévisagea avec surprise Theodore.

    Hermione aussi regardait son ami avec ce sentiment, mêlé aussi à un réel soulagement. Elle l'avait cru en grave danger, peut être blessé ou pire encore ; sans doute avait-elle raison, dans un sens, puisqu'il s'était apparemment trouvé en compagnie de Sirius Black.

    - Rends-moi ma baguette Theodore, demanda poliment Harry, bien qu'à bout. Ne m'oblige pas à utiliser la force.


    J'ai surtout modifié la scène. Je l'ai ralentie et rallongé en même temps. Puis Harry ... no coment


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  • - Tout va bien Theodore ? S'inquièta l'homme qui l'avait sauvé.

    Le garçon ouvrit un peu plus les yeux puis regarda autour de lui. Les lieux ne lui disaient rien et le confort du lit sur lequel il était allongé laissait à désirer. Où était-il ? Et comment diable était-il arrivé là ?

    - Theo, insista la voix. Réponds-moi sinon, recherché ou non... je t'emmènes à Pomfresh.
    - Non, marmonna-t-il. Ils t'arrêteraient.


    Au cours d'un cours de philo, j'ai juste décidé (lors d'un moment d'ennui profond) d'un peu changer la donne. Considérant que Peter avait fait ça pour piéger Sirius avant toute chose, je le voyais plus utiliser Theodore comme appat que l'abandonner dans la forêt.

    Puis c'est plus classe... mais ça c'est juste moi


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  • Il plaqua une main à quatre doigts sur la bouche de Theodore, qui se réveilla en sursaut suite à cette attaque. Il commença à gigoter dans l'espoir vain de se défaire de cette prise. Le brun se débattait avec hargne, mais rien à faire, l'homme bedonnant qui semblait s'en prendre à lui avait plus de force.

    L'oreille aux aguets, le fils de Theophile Nott espérait à tout instant qu'un de ses camarades ne se réveillent pour l'aider à sortir de ce pétrin. Il n'eut, néanmoins, pas à espérer longtemps, car bien assez vite (et trop au goût de l'élève), il senti quelque chose s'abattre au dos de son crâne.

    Le noir total.


     

    Ce passage là à surtout été retravaillé dans le chapitre 18, l'idée reste la même. Ca a juste été reformulé.


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  • Theophile tenait, entre les doigts, une lettre destinée à son fils. Une de plus. L'été dernier il n'avait pas laissé l'occasion à cet imbécile profond d'écrire à ses amis... et eux s'imaginaient qu'il aurait gagné ce "droit", ce "privilège" ? Et en quel honneur, s'il vous plaît ? Parce qu'il s'en était tiré ? Parce qu'il avait su sortir de la chambre des secrets ? Mais lui n'avait rien demandé du tout... qu'il y reste dans sa chambre... si cela pouvait faire revenir Lord Voldemort et faire passer à la trappe son échec.

    Le courrier entre les mains, il attendait que Theodore n'arrive.

    Son voeux s'exauçait à l'instant précis, la poigné s'abaissant.

    - Qu'est ce que ceci, demanda de but en blanc Theophile, désignant l'item.
    - Euh... une enveloppe avec quelque chose d'écris dessus ? Tenta Theodore en s'approchant. D'ailleurs c'est mon nom... ça m'est destiné.

    Le jeune garçon eut la candeur de tendre la main, dans le fol espoir de se voir remettre son courrier. Qui lui revenait de droit ! Pourtant... il le vit s'élever hors de sa portée.

    - C'est de la part de... Theophile grimaça juste avant de finir sa phrase. Ronald Weasley et... toutes sa famille de bras cassés.
    - Parce que, maintenant, tu lis mon courier !
    - Il le faut bien, si je veux préserver le peu "d'honneur" que mon nom apporte encore.
    - Parlons en d'honneur... parlons en !

    Le ton montait dangereusement vite entre les deux Nott. Theophile s'était attendu à devoir faire face, un jour, à ce genre de comportement. C'était inévitable... l'exemple passé "Sirius Black" le prouvait suffisamment bien, avouons-le. Mais il ne souhaitait pas que "Nott" ne devienne synonyme de "Black". Car un Nott n'est pas et ne sera jamais un Black.

    Mais il ne pensait pas que ça serait si vite... le moment de la confrontation aurait encore dû être retardé de quelques années. Deux pour le moins.

    Alors... Theophile réagit. Parce que "Action, Réaction" c'était bien connu. Mais, en raison de l'avance considérable qu'avait prit Theodore ... ce n'était peut être pas exactement la meilleure des réactions.

    Sa main se précipita sur sa baguette et le brun pu, pour l'une des toutes premières fois de son existence, goûter de la puissance de son père.

     


    Juste eut envie d'épargner un peu Theodore, si si c'est possible. Et puis, la fin de la seconde année était encore proche et je ne voyais pas Theodore déjà tout à fait remit de ses émotions


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  • Seamus réveilla les quatre autres joyeux compères et attendit qu'ils n'aient finis de se préparer pour descendre avec eux. Theodore bien loin de ses pensées. Le brun aimait se la jouait solo en ce moment, mais il avait apparemment remit les pieds à terre... les bonnes vieilles habitudes ne sauraient tarder.

    - Le crétin !

    Automatiquement, Seamus se sentit concerné et se tourna vers le propriétaire de l'insulte... qui s'avéra ne pas en être une dans la mesure où c'était Blaise qui l'appelait. Pourquoi diable le serpent appelait-il ce lion. Ils s'étaient pourtant ordonné de rester discret pour ne pas avoir d'ennuis.

    Le blond demanda à Harry, Ronald, Neville et Dean de ne pas l'attendre, les rassurant de son mieux quand aux intentions pacifiste du vert et argent.

    - Qu'est ce que tu veux ?
    - T'as pas vu Theo. Il... y a un truc de pas net qui se prépare.
    - Pas depuis ce matin, mais il allait bien.
    - Il allait, répéta Blaise légérement hystérique. Mais c'est peut être plus le cas.
    - Avec des peut-être on referait le monde, Zab'.

    Sans attendre une minute de plus, Seamus gagna l'intérieur de la Grande Salle. Il courut vers les compères et se laissa glisser sur quelques mètres, les fesses sur le banc. La bonne humeur était au rendez vous... allez donc comprendre.

    Dans le hall d'entrée, une nouvelle conversation s'entamait entre Blaise et le Poufsouffle, Zacharias Smith. Qui pouvait être considéré comme un drôle d'énergumène ? Le vert qui osait se présenter en public en si mauvaise compagnie ? Le jaune qui ne craignait pas le vert ?


    Ce passage là a principalement été remanié


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