-
Chapitre 03 [20m => 30m]
Allée des Embrumes, Harry, Hermione et Ronald suivent Draco.
Draco : Granger, Granger, Granger… toi et la filature ça fait deux. Comment ai-je pu ne pas remarquer qu’un épouvantail me suivait ?
Hermione : Hilarant Malfoy, sincèrement.
Théodore : Appelez vous par vos prénoms s’il vous plait. Je connais un vieux bouc qui va pas s’en remettre sinon.
Moldu 1 : Ca… Ba… NA…
Blaise : Cabana ? Y est encore plus bête que moi.
Théodore : N’exagérons rien Blaise, veux tu…
On voit l’armoire à disparaître.
Draco : (choqué) Mais… mais ce n’est pas possible ! Comment ils ont fait pour savoir tous les détails !
Hermione : La magie du cinéma.
Théodore : A ce niveau là… j’avoue c’est stupéfiant.
Ginny : Malfoy… même dans la fiction on te prend pour un idiot.
Fenrir Greyback ferme les volets après avoir soupçonner que l’on ne les espionne.
Draco : Là c’est pas croyable.
Théodore : Ils l’ont fait trop intelligent. C’est de Greyback dont on parle pas de Lupin.
- Le chicaneur. Le chicaneur.
Draco : Non, même ici elle vend sa merde ?
Théodore : Si même ici tu sors ta merde, y a pas de raisons.
Ginny : (riant) Et ça c’est fait.
- C’est quoi un joncheruine ?
- Ce sont des créatures invisibles, elles entrent dans tes oreilles et t’embrouillent le cerveau.
Blaise : Elle doit en être infesté elle, alors.
- Qu’est ce qu’il faisait Draco avec cette armoire bizarre ?
Draco : Mais quelle plaie ce Weasley. D’puis quand il m’appelle par mon prénom, hein ?! J’lui en aie jamais donné l’autorisation.
Hermione : (ironique) Parce que pour « la fouine » tu l’avais donné peut être ?
Draco : (étonné) De quoi la fouine ?
Hermione : Oh non, rien.
- Arrête Harry, je sais où tu veux en venir.
- C’est arrivé… s’en est un.
Draco : Non mais je l’emmerde lui. Franchement, qu’est ce que ça peut lui faire ?
Hermione : Il va devoir se battre contre toi. Tu es officiellement son ennemi.
Draco : Ah ! Parce qu’on était amis avant, peut être ?
- T’es barjot !
Draco : Il pense que… Woua bah… faudra que je le …
- Qu’est ce que Tu-sais-qui ferais d’un p’tit con comme Malfoy ?
Draco : (achève sa phrase)… massacre.
- Oui alors qu’est ce qu’il faisait chez Barjow & Beurk ? Il faisait son p’tit shopping.
Blaise : (ne riant pas) Avouons qu’il est à mourir de rire le petit Potter.
Tout est noir.
Draco : Tss. Ils ont même mis cette scène déplorable.
- Qu’est ce que c’était ? Blaise ?
- Je sais pas.
Blaise : (en même temps que son double cinématographique) Je sais pas.
Hermione : Quelle plaie.
On voit Pansy et Blaise.
Draco : (bouche bée devant l’écran) C’est Pansy ça ? Ca c’est Pansy ?! (Choqué) Nàààn ça c’est pas Pansy.
Blaise : Oh la barbe ! J’suis pas comme ça moi… si ?
- Poudlard ? Comment ils osent appeler ça une école ?
Draco : Figure-moi que je me pose la même question.
Ginny : Les gens normaux disent « figure-toi »
Théodore : Draco n’est pas quelqu’un que l’on pourrait qualifier de normal.
Draco : Et je me parle à moi-même donc logiquement… je dis « figure-moi ».
Ginny : Oh bien sur… (Abandonnant l’idée de les comprendre) Au temps pour moi.
Blaise rit.
Théodore : Oh le rire ! Parfaitement bien imité.
Draco : Pour une fois… j’suis d’accord avec Théo.
Blaise : (boudeur) Forcément c’est contre moi qu’il s’en est pris et non contre toi. (À Théo) Attend un peu qu’on te voit, j’me moquerais de toi.
- Partez devant, j’vais vérifier quelque chose.
Draco : J’suis quand même vraiment trop intelligent hein. J’ai deviné que Podfleur nous espionnait.
Théodore : Woua, magiiie.
- Ta maman ne t’as jamais dit que c’était mal d’écouter les conversations, Potter ?
Draco : (fier) Oh, comme je suis méchant.
- Petrificus totalus
Draco : Seulement… j’me déçois.
Luna viens aider, et « sauve » Harry.
Hermione : (stupéfié) Luna ? Mais c’était Tonks normalement qui devait… Rooh ils font n’importe quoi !
- C’est pas grave, c’est comme si j’étais avec un ami.
- Mais je suis ton ami, Luna.
- C’est gentil.
Draco : Elle est vraiment… Co…
Théodore : Spéciale.
- Bien… vos noms.
- Professeur Flitwick, vous me connaissez depuis 5ans.
- Pas d’exceptions Potter !
Blaise : Il fait pas si jeune Flitwick ! C’est n’importe quoi et puiiis… et puis zut. Sont bête les moldus. Na.
Moldu 1 : Faites-moi de la magie. Je ne vous crois pas.
Théodore : (exaspéré) Bloc langue. On joint l’utile à l’agréable.
- Qu’est ce que c’est que ce bâton ?
- C’est pas un bâton, crétin ! C’est une canne à pommeau.
Hermione : Et qu’elle est la différence, Malfoy ?
Draco : Un bâton c’est ce qu’utilise un Weasley, une canne à pommeau c’est ce qu’utilise un Malfoy. On ne vient pas du même monde.
- Belle gueule Potter.
Théodore : C’est bas comme attaque.
Blaise : J’avoue… mais ça correspond bien à Draco.
Draco : Tu vas pas t’y mettre toi aussi !
- Comment j’suis ?
- Extraordinairement normal.
Blaise : Dans la mesure où Potter puisse l’être.
Théodore : (sourit au moldu toujours muet) J’suis trop gentil parfois. (Lève le sort)
- Mais arrête… de… manger (en le frappant)
Draco : T’espérais pas lui faire mal quand même ? Si ?
Théodore : (enthousiaste) Draco… j’ai eu une idée !
Draco : Laisse moi deviner… je dois me taire.
Théodore : (l'air bête et enthousiaste, encore) T’as tout compris, comment t’as fait ?
- Ca lui est facile de dire ça… c’est un chapeau.
Blaise : Là… il a pas tord. S’il pouvait fermer sa gueule un peu.
Dumbledore se met en avant.
Draco : Oooh un citronné cinglé.
Théodore : Tu l’as déjà vu pauvre nouille. Au début.
Draco : Et alors… on le voit mieux maintenant, nán ?
Hermione : Mais quel idiot.
Théodore : Tu trouves aussi ?
Draco : J’vous entends hein… juste pour dire.
Théodore : Eeeet… on est censés faire quoi ?
- Ils seront assurés par le professeur Rogue.
Théodore : On pari combien qu’ils nous font un gros blanc là ?
Gros blanc… sauf les Serpentard.
Blaise : Heureusement qu’on est là quand même.
Draco boude.
Draco : Maaaaais !
Blaise : Hey vous avez vu ça… on a pas encore vu Théo. Vous croyez qu’il est mort ?
Théodore : (le tape derrière la tête) Si c’est fidèle jusque là y a pas d’raison qu’je sois mort… abruti. J’pense qu’ils m’ont pas mis.
Blaise : Faut pas t’vexer hein.
Théodore : Au moins je serais pas ridiculisé. Moi !
- Il s’appelait Tom Jedusort.
-
Commentaires