• Chapitre 2

    Toutes la journée, ils cherchèrent. Dans un premier temps, ils n'en avaient fait qu'à leur tête, et cherchés chacun de leur côté. Pourtant, ils en eurent rapidement assez et souhaitèrent que ce petit jeu ne s'arrête rapidement... et s'étaient alliés.

    Pour en arriver où au final ? Face à un placard à balai. Un vulgaire placard... à balai. Comment Albus Dumbledore, aussi cinglé soit-il, pouvait-il accepter d'enfermer trois de ses élèves dans un tel lieux... uniquement pour que trois autres ne s'entendent. En plus ! Comme s'ils pouvaient s'entendre. Les hostilités reprendraient aussitôt.

    Tous les trois posèrent leur main sur la porte;, qui s'ouvrit. C'était d'un ridicule à tout casser, mais au moins leurs professeurs étaient-ils sur que leur punition n'ait étaient commune (au moins une partie du temps).

    Comme prédit plus haut, les hostilités reprirent aussitôt. Chacun voulait être le premier à voir qui était cette personne à qui il tenait tant. Aussi mauvaise langue étaient-ils pour certains, Dumbledore ne se trompait que très rarement.

    - C'est une blague ? Lachèrent-ils simultanément.

    Au lieu de trouver trois personnes, comme ils s'y attendaient. Une seule était recroquevillée sur un lit et dormait tranquillement. Une seule personne. Etait-ce donc réellement vrai que c'était la personne à qui ils tenaient le plus... et non pas une simple personne à qui ils tenaient tous trois.

    - Bon, bah ils ne doivent pas tous être retenus au même endroit, lâcha Blaise. J'pense que Theodore est pour moi.
    - Euh... non, refusa Zacharias. Theodore est à...
    - Moi, ajouta Hermione. Nous sortons ensemble, il est donc normal que...

    Les deux autres garçons se tournèrent vers elle, et haussèrent un sourcil... avant d'éclater de rire. Chacun se retenait à l'autre afin de ne pas tomber au sol. Sacré petite lionne, elle avait visiblement plus d'humour qu'ils ne l'avaient toujours cru.

    - Le jour où il sortira avec toi, il sera ami avec ce blaireau, se moqua Blaise. Et crois moi c'est pas demain la veille.
    - Tu as raison, Zabini,  approuva Zacharias. Puisque c'est déjà le cas.
    - Hein ? Que ? Quoi ?

    Le brun ouvrit les yeux avant de gémir. Que faisaient-ils tous les trois ici. Et pourquoi n'était-il pas dans son dortoir ? Il était pourtant certain de s'être endormis dans son lit et non dans la salle sur demande... pour une fois.

    Il regarda ensuite autour de lui et se fit alors la remarque qu'il y avait bel et bien un truc qui clochait. Aussi fou pouvait-il être par moment, jamais il n'irait souhaiter un placard à balai.


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