• Theodore aurait aimé pouvoir continuer à dire qu'il détestait Zacharias Smith et préférerait le voir mort. Être en mesure de dire que el blond l'énervait au plus haut point et que moins il avait à le voir et mieux il se portait.

    Theodore aurait adoré pouvoir dire tout ceci sans que ce ne soit des mensonges.

    Oh ! Il n'était certainement pas contre l'idée de proférer un petit mensonge de temps en temps, loin de là même. D'ailleurs il aurait aimé pouvoir dire le contraire de la vérité afin de contrarier le blaireau et gagner quelques instants de tranquilité... sauf que ceci était peine perdu.

    Le blond lisait en lui aussi facilement que lui ne lisait un livre de sortilèges (et croyez le ou non : il n'avait aucun mal à déchiffrer ces incantations étranges).

    - Theo ? Tu sais faire quelque chose de tes dix doigts ou pas ? Lança le Poufsouffle d'un ton moqueur.
    - Yép, répondit le brun sans lever les yeux de son livre. T'étrangler, te poignarder, t'assommer... j'sais faire un paquet de trucs mine de rien.
    - Un truc utile, j'entends.
    - Oh... crois moi... c'est très utile. Je t'entendrais moins souvent te plaindre si t'es mort, sourit Nott en le regardant.

    Il était seul, pourtant. Celui qu'avait eu Smith un instant plus tôt s'était décomposé tandis que le brun parlait.

    A quoi s'était-il attendu ? Theodore n'aimait personne. N'appréciait personne. A l'exception de lui-même. Pourquoi ferait-il une exception en se mettant à l'apprécier lui, un foutu blaireau comme il l'appelait si souvent.

    - Zach, souffla pourtant le serpent en se levant et s'approchant de lui. Je. Je suis désolé, je.
    - J'vais pas te reprocher de dire ce que tu penses, Nott. Surtout que c'n'est pas vraiment une surprise. Tu n'apprécies personne, après tout, ajouta le blond. J'ai tendance à oublier d'où tu viens.
    - Remet pas ça sur le tapis.

    L'élève de la maison d'Helga Poufsouffle haussa un sourcil et dévisagea l'autre.

    - Tu sais quoi Nott ? Tu m'emmerdes ! On peut jamais rien te dire sans que tu te vexes.
    - Je me vexe pas.
    - Non du tout. Suis-je bête.

    _____

    Ce n'était pas la première fois que Theodore prenait ses clics et ses clacs ; le serpent, lorsque l'ambiance devenait trop désagréable à ses yeux, avait coutume de sortir prendre l'air et se dégourdir les jambes.

    Au fond, Zacharias soupçonnait même le brun de chercher les conflits pour avoir une raison de sortir seul. Autrement, le blaireau s'inquiétait et craignait le voir revenir blessé... ou ne pas le voir revenir du tout.

    Enfin... c'est pour cette raison principalement que Smith ne s'inquiéta pas plus que de raison. Il recommença son duel avec les légumes qu'il voulait cuisiner en soupe et ne se formalisa pas plus que ça de l'absence du serpent.

    Sauf lorsque treize heures sonna et que Nott n'était pas encore venu derrière lui pour prendre sa respiration et lui hurler de toutes ses forces qu'il savait quel était son plan et qu'il était inutile d'espérer le faire mourir de faim car il le tuerait avant pour le manger.

    C'est ce silence, oui, qui l'inquiéta.

    Car même s'il était parti se dégourdir les jambes et prendre l'air : son estomac devait faire des siennes. Il mangeait peu, mais il mangeait à heure fixe.

    - Qu'est-ce que cet imbécile a encore été m'inventer, grogna le blaireau.

    Il sortit de la tente et regarda alentour. Peut être qu'il était tout prêt à attendait de le voir sortir pour pouvoir lui demander s'il s'inquiétait.

    Voilà qui ressemblerait bien au mangemort.
    Et qui ne lui ressemblait pas en même temps.

    _____

    Les mains enfoncées dans les poches, Theodore s'amusait (ou pas d'ailleurs) à donner des coups de pieds dans les quelques rares objets qui, par malheur, venaient rencontrer son pied. sa baguette était, prudemment, glissée dans sa poche et à tout instant le mangemort était prêt à la sortir pour s'en servir. Mais il espérait que pareille occasion ne se présenterait pas.

    Un quart d'heure après avoir quitté la tente, le brun avait décidé de transplaner et de laisser cet enquiquineur seul quelques temps.

    Voilà qui lui ferait les pieds, tiens !

    Il s'arrêta devant une porte et, après avoir hésité quelques secondes, frappa. Nott n'eut pas à attendre longtemps qu'on vienne lui ouvrir.

    - Theo, souffla la personne. Qu'est-ce que tu fais là ?
    - Je...
    - Entre.


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  • Alors alors,..

    Ca pourrait s'inclure directement dans "A comme Association et B comme Bonus" mais en fait non ... disons qu'étant excessivement long : je préfère autant mettre ce bonus "à l'écart" des autres afin de le rendre non seulement plus fluide, mais également le parcours dans la partie bonus plus simple (sinon comment faire ? laisser par date de postage et donc ce bonus là est coupé ... ou alors mettre dans l'ordre mais ne pas forcément voir les nouveautés ? Bref... difficile !)

    Ce bonus est là pour répondre à la demande d'une bouffeuse de patate (qui me frustre à ne rien envoyer alors qu'elle dit qu'elle écrit mais j'ai rien à lire et c'est triste et si je suis triste j'ai parfois tendance à écrire du coup j'pense que ça doit pas l'inciter puis t'façon elle s'en fou puisqu'elle a quand même de la lecture et c'est pas juste !)


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  • Theodore dans les bras, Blaise fit irruption sous la tente. Aussitôt, le blaireau sauta sur ses jambes et se précipita vers lui pour lui retirer le brun des bras et s'occuper de lui, lui-même.

    - Qu'est ce qui s'est passé ? demanda-t-il inquiet. Il aurait dû être en sale état mais pas blessé ! Bordel Zabini !

    L'autre mangemort acquiesça. Inutile de le lui rappeler. Les choses avaient dérapées, dérapées comme il ne pensait pas que cela fût possible. Impossible lorsque l'on bossait avec un Theodore qui connaissait le plan.

    Son ami était une personne qui respectait toujours tout ce qui était prévu à la lettre. Qui ne laissait aucune place à l'imprévu. Néanmoins les choses avaient su dégénérer.

    - Je savais que j'aurais pas dû te faire confiance, Zabini ! S'énerva le blond en installant Theodore sur la couchette du bas et regardant l'étendue des dégats. T'as fait semblant de vouloir l'aider alors que tu ne voulais que sa mort !

    Enervé, Blaise sortit sa baguette et attrapa Smith par la gorge pour le maintenir contre le lit superposé. Comme s'il ne s'en voulait pas déjà suffisamment de ce qui était arrivé.

    Theodore était la seule personne qui pouvait se vanter d'avoir une quelconque importance à ses yeux. Sa vie était la seule pour laquelle il irait se mettre lui-même en danger.

    - J'ai pas fait exprès ! S'énerva l'autre. Tu piges ou pas ! Ca a foiré, j'aurais pu me faire tuer aussi !
    - Rien à foutre de ça, Zabini ! Hurla Zacharias en le repoussant. Tu peux crever, bordel ! Regarde Theodore bon sang ! Regarde le !

    Blaise haussa un sourcil et sa bouche se leva d'un côté. Son rictus ne disparaissait pas, bien que les secondes passaient. Le brun tremblait sur son matelas et semblait à deux doigts de perdre connaissance.

    - Theodore ? Répéta le mangemort, moqueur. Mais tu n'es que Smith pour lui. Ted n'aime personne. Ni Narcissa, ni toi... pas même moi.
    - Il est en train de changer, marmonna le fugitif. Je t'assure qu'il est en train de changer.

    Malgré cela, il lâcha le blond et baissa sa baguette. Il le laissa, sans rechigner, s'approcher de Theodore et le regarda lui retirer sa chemise pour mieux voir l'étendue des blessures.

    - Theodore est un véritable caméléon. Il sait quoi faire pour être à sa place, avança Blaise en s'affalant sur le banc de la table. Toi comme moi, on sait que le Theodore de Poudlard n'aurait jamais pu commettre la moitié de ces crimes et pourtant regarde ! Regarde ! Maintenant il est parmi les meilleurs mangemorts que Tu-Sais-Qui a à son service ! Pourquoi ? Parce qu'il avait besoin de ça pour survivre. Pour survivre il doit faire quoi maintenant ? Passer pour un gentil à tes yeux. ET IL Y ARRIVE !
    - Dégage, murmura Zacharias. Dégage Zabini.

    _____

    Theodore transpirait dans le lit, une couverture remontée jusqu'aux épaules. Zacharias avait été jusqu'à retirer celle qu'il utilisait habituellement pour la lui mettre. La tête posée sur les jambes du brun, il s'était endormi dans cette désagréable position.

    - Smith, murmura l'occupant du lit à voix basse. Dégage ta tête.

    Afin d'être certain d'être entendu et de réveiller l'ancien Poufsouffle : le serpent bougea ses jambes. Quelques secousses furent nécessaire avant que l'autre n'émerge et observe alentours pour trouver le malotrus l'ayant privé de son sommeil bienfaiteur.

    - Theodore ? Sourit Zacharias. Ca va mieux ?
    - C'est pas grace à toi, grogna-t-il en se redressant sur le lit. Putain ! Pourquoi j'suis à moitié à poil ! Qu'est ce que tu m'as fait !

    Le blaireau leva les yeux au ciel. Quoi qu'en dise Blaise, il n'avait pas l'impression que Theodore se jouait de lui. Il avait réellement l'impression qu'il était sincère, honnête, qu'il changeait et redevenait la personne fréquentable qu'il avait été dans un passé pas si lointain.

    Certes, son ardoise ne serait pas effacée ; il était et resterait un mangemort mais, au moins, ne serait-il plus une machine à tuer.

    - Theodore, soupira le blond.
    - Fatigué, marmonna Nott en se laissant tomber en arrière. Dodo.

    Il agrippa un pan de la couverture et la tira jusqu'à couvrir son épaule puis se tourna afin de fixer la toile de la tente et ne plus avoir à voir le visage de celui qui venait de le soigner.

    Probablement de le sauver.
    Juste une fois de plus.


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  • - Bas les pattes, s'agaça Theodore alors que Zacharias allait l'aider à quitter le lit. Tu me touches, j'te bouffe.

    L'autre sourit mais ne fit rien pour lâcher le meurtrier. Il continuait à l'aider à rester debout, même s'il ignorait si cela était utile ou non.

    - Fou l'camp, Smith, murmura le mangemort. Arrête de mettre ta foutu vie en danger. Rentre chez toi. Laisse moi crever et vie.
    - A quoi bon vivre si j'ai une mort sur la conscience.
    - T'es conscient que tout le monde te féliciterait d'avoir laissé crever un mangemort ?

    Las, le blond ne répondit rien. C'était toujours la même rengaine avec celui-ci. Toujours, il répétait qu'il n'en valait pas la peine. Répétait qu'il ferait mieux de crever. Reconnaître le mangemort avec qui il avait commencé sa fuite était une tache laborieuse.

    Bien que, présentement, le brun était en train de râler et faire sa tête de lard, comme il en avait l'habitude, il ne fit rien pour réellement éloigner le Poufsouffle.

    - Tu ne te définie pas qu'en tant que mangemort, Theodore, souffla Zacharias. Tu es... tellement plus.
    - Un être monstrueux, cruel, abject. Un meurtrier, un assassin. Une personne inhumaine.
    - Humaine, corrigea aussitôt le blaireau. Tu es une personne humaine. Tu as fait des erreurs dans tes choix, tu n'as pas suivit la bonne route mais tu as su rebrousser chemin.

    Un sourire illumina légèrement le visage de Theodore qui s'appuya un peu plus contre l'autre. Zacharias l'aida à prendre place sur le canapé et alla lui chercher du chocolat.

    Le mangemort s'était recroquevillé sur le canapé et observait le lit qu'il venait de quitter. Perdu, le blond se demandait comment réagir avec lui. Comment se comporter.

    _____

    - Smith ? Appella Nott, peu sur de lui. Qu'est ce que tu penses de moi ?
    - Que tu es quelqu'un de bien, répondit Zacharias. Mais que tout le monde l'ignore. Y compris toi.

    Surprit, le mangemort leva les yeux et ne quitta pas du regard le visage de l'étrange personne qui l'avait soigné et aidé à le faire sortir d'Azkaban.

    - Si tu avais eu le choix dès le début... serais-tu devenu mangemort ? Demanda, très justement, le blond. Aurais-tu fait tout ça. Serais-tu devenue la personne que tu es actuellement ?

    S'il ne s'agissait pas de Theodore, il aurait juré voir des larmes au bord de ses yeux. Il aurait juré que le brun était à deux doigts de pleurer, de craquer.

    Sans réfléchir, Zacharias s'approcha, passa un bras derrière son cou et l'attira vers lui. John faisait ça, à Poudlard, lorsqu'il avait un de ses nombreux coups de barre, qu'il était à deux doigts de ne plus être l'enfoiré de Poufsouffle que personne ne supportait.

    Theodore posa une main sur le torse du blond et y posa sa tête. Sa main droite serra la chemise du blaireau et ferma les yeux. Surprit de cette initiative, l'autre le laissa faire et alla même jusqu'à l'approcher un peu plus.

    - Tu peux parler, Theodore. Je t'écouterais. Je ne te jugerais pas.
    - Tu m'as déjà jugé, murmura le brun, toujours contre lui.
    - Je ne te jugerais plus, alors... se corrigea le blond. Je te le promet.

    _____

    Voir Theodore endormit sur ses genoux était une chose qu'il n'aurait jamais cru possible. Si une personne avait eu l'audace de proposer pareille éventualité il ignorait la réaction qu'il aurait eu... mais doutait ne pas remettre en question la santé d'esprit de cet être.

    Il souleva la tête décoiffée et essaya de se dérober. De partir pour le laisser dormir plus tranquillement. Doucement, le blaireau s'occupa de la reposer sur un oreiller. Suite à cela, Smith essaya de retirer de la manche du mangemort la baguette que ce dernier avait récupéré.

    - Tu devrais toujours être aussi paisible, murmura Zacharias en étendant une couverture sur lui.
    - J'suis pas paisible, grogna Theodore sans ouvrir les yeux. Alors tais-toi.

    L'ancien Poufsouffle se retint d'ajouter quelque chose et passa simplement la couverture sous les coussins du canapé pour la maintenir sur le serpent déjà rendormi.

    - Imbécile de blaireau de mes deux, marmonna-t-il.

    Peut être qu'il ne dormait pas finalement.

    - Je prend ça comme un compliment, venant de toi.
    - M'abandonne pas... finit par demander le brun en ouvrant les yeux. Smith.


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  • Zacharias voyait, avec surprise, Theodore debout dans l'espace cuisine de la tente. A première vu : il semblait être en train de préparer le repas, ce qui ne pouvait être le cas. S'il y avait bien une chose que le serpent ne faisait jamais, et certainement pas de lui-même : c'était ça.

    Parce que faire à manger était un travail d'elfe de maison, totalement indigne de sa personne. Faire à manger était une corvée. Il fallait savoir quoi préparer, comment le préparer et, pire encore... le préparer !

    Non décidément : très peu pour Theodore.
    D'autant plus qu'il avait Smith pour le faire.
    D'où la surprise de celui-ci.

    - Qu'est-ce que tu fais ? Demanda le blond.
    - Je cours un cent mètre, répondit l'autre sans lever la tête. Ensuite j'irais m'entrainer au tir à l'arc avec des fourchettes et pour finir j'irais boxer mon père avec des petits pois. As-tu d'autres questions auxquelles je pourrais me faire une joie de répondre ?

    Le blaireau s'approcha et s'arrêta juste à côté du mangemort. Ce dernier alla jusqu'à offrir un grand sourire innocent au blond... qui lui rendit le geste et attrapa de quoi aider le meurtrier dans sa tâche afin de pouvoir couper des tomates.

    - Mais non tête de gland ! S'horrifia le mangemort. C'est moi qui fait à manger. Moi tout seul.
    - Je veux t'aider, idiot, grogna Zacharias.
    - Va t'asseoir, ordonna pourtant le premier. Pour une fois je suis le gentil et tu es le méchant qui fou rien.
    - Je ne veux pas ne rien faire.
    - M'en fou.

    Le fils de Theophile Nott poussa l'autre afin qu'il ne s'éloigne du plan de travail.

    - S'il te plaît Smith.

    _____

    Assis l'un en face de l'autre, aucun des deux fugitifs ne parlaient, bien trop occupés qu'ils étaient à se remplir l'estomac. De temps à autres, Theodore voyait Zacharias loucher en direction de ce qu'il aurait à nettoyer et jeter après le dîner. Et cela était loin de l'enthousiasmer.

    - Le partage des tâches, Zach, rappela malicieusement le brun. Je cuisine et tu nettoies.
    - Quand c'est moi qui fait le repas j'ai droit à un "T'as tout salit, t'assumes et tu nettoies" je te signale.

    Le jeune Nott mâcha et avala ce qu'il venait de mettre en bouche et regarda son camarade. La manière dont il le regardait était on ne peut plus claire ; c'était un de ces regards que l'on pouvait traduire en moins d'une minute et qui voulait dire "Un point pour moi ; essaye encore".

    - Tu fais chier, marmonna le blaireau. Saleté de serpent, va.
    - Je vais le faire.

    Celui qui ne possédait pas la marque des ténèbres sur son avant bras gauche haussa aussitôt un sourcil interrogateur. Venait-il bien d'entendre ce qu'il avait entendu ? Etait-ce vraiment ce que venait de dire Nott ou prenait-il ses rêves pour la réalité ?

    Après tout : il n'avait pas oublié à qui il avait affaire.

    _____

    La joue profondément coupée, mais un sourire aux lèvres malgré tout, Zacharias se tourna en direction de Theodore pour voir comment il s'en sortait de son côté... juste à temps pour pouvoir apercevoir le rayon vert quitter la baguette de son camarade afin de frapper de plein fouet son adversaire.

    Son air réjouit disparu aussitôt. Le blond retourna le dos au brun et fixa, sans raisons, le mur en face de lui.

    - Ca va Zach ? Demanda le mangemort en posant une main sur l'épaule de l'autre et un sourire en coin sur le visage. Tu veux que je m'occupe de ta joue ? Ca doit faire un mal de chien.
    - Me touche pas Nott, claqua Smith en dégageant son épaule et se tournant vers lui. Tu crois peut être que j'ai pas vu ce que tu viens de faire, hein ? Non mais tu me prends pour un con en plus !

    Le brun recula d'un pas. Prudence était maître mot dans pareille situation. Son regard, pourtant, s'était durcit, son corps s'était tendu, son visage s'était fermé.

    - Ne me condamne pas. Pas tout de suite, du moins.
    - Tu m'avais promis que tu ne le ferais plus, Nott ! Et chez moi une promesse... ça se tient !
    - C'était sa mort ou la tienne, s'agaça Theodore. Pardonne moi d'avoir préféré que ce soit la sienne et te garder en vie !

    Le blaireau ne répondit rien sur le coup. Toujours éloignés l'un de l'autres, ils se regardaient avec curiosité.

    - Pardon ? demanda Zacharias.


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