• - Aaah mais lâchez moi.

    Hermione : Voilà ce qui arrive quand on fouine partout.

    Draco : Je ne fouine pas partout Granger. Sache qu’un Malfoy ne fouine pas.

    Ginny : Tu devrais dire ça à Maugrey.

    Moldu 2 : Vous êtes fou ?

    Théodore : Vous savez… demandez à un fou si il est fou et espérer qu’il vous réponde oui… et alors vous saurez qu’il ne l’est pas. Puisqu’un fou ne sait pas qu’il est fou. Comme un fou pense que ce sont les autres les fou… on pourrait alors se dire que c’est vous… le fou.

    Blaise : Ahein. Je ne vais même pas essayer de comprendre.

     

    - D’accord, d’accord, j’voulais entrer en douce.

    Théodore : N’avez-vous donc pas honte, monsieur Malfoy, de vouloir vous infiltrer en douce dans cette fête à laquelle vous n’étiez pas convié ?

    Draco : Tu ne l’étais pas non plus.

    Théodore : De petit un : je n’ai pas essayé d’y aller quand même. De petit deux : je n’existe pas dans ce film… et je ne vais pas vraiment m’en plaindre en fait.

     

    - Je vais… raccompagner… ce jeune homme.

    Draco : Mais c’est qu’il ferait presque plus peur que le vrai Rogue cet imposteur.

    Blaise : Sauf au niveau des cheveux… ils sont trop propres.

     

    - Volontiers… professeur.

    Hermione : Tu n’es pas obligé de prendre cet air méprisant pour répondre, Malfoy.

    Draco : Tout comme tu n’es pas obligée de ramener ta fraise à tout instant, Granger.

    Théodore : Si vous pouviez arrêter de vous manger le nez à chaque réplique.

    Dracoet Hermione : La ferme Théo.

    Hermione : Pourquoi je sens que tu souris comme un débile ? Pourquoi tu souris comme un débile ?

    Théodore : (souriant comme un débile) Tu m’as appelé Théo.

    Hermione : Mais non.

    Théodore : Si si.

     

    - J’ai peut être jeté un sort à Katie Bell… peut être pas.

    Blaise : Et toc.

    Ginny : Il y a quand même de la partialité dans l’air hein, parce que Malfoy n’est même pas puni là.

    Moldu2 : Vous n’avez pas lu les livres ou quoi ? Rogue n’arrête pas de favoriser ses élèves.

    Blaise : Ca existe en livre ce truc ? Ca se vend ?

    Moldu 2 : Mais vous sortez d’où vous ?

    Moldu1 : D’un livre…

     

    - J’ai juré de vous protéger. J’ai fait le serment in-vio-lable.

    Draco : Mais c’est son problème ça.

    - J’n’ai pas besoin qu’on me protège.

    Théodore : Juste un peu.

    - J’ai été choisis pour ça. Parmi tous les autres.

    Blaise : Et y en avait combien « d’autres » ?

     

    - Laissez-moi-vous aider.

    Hermione : Et tout aurait été mieux si il avait été fouiné ailleurs que dans les pattes de Voldemort.

    Draco : Je… ne… fouine… pas.

    Ginny : Juste un peu.

     

    - Non ! J’ai été choisi ! Ca sera MA gloire.

    Théodore : Et surtout TA défaite.

    Moldu 2 : Voilà un qui a lu les livres au moins.

    Draco : (surpris) Lui ? Non il ne savait même pas que ça existait… mais disons qu’au moins il a bonne mémoire et le don de me rappeler mes petites erreurs.

    Théodore : J’appellerais plutôt ça : grosses conneries, mais passons.

    Moldu 2 : Je suis perdu là.

    Moldu 1 : Je pense que ce sont des magiciens professionnels qui ont été payés pour faire des tours de magie pendant le film. Et qu’on leur a demandé de se déguiser pour ressembler aux acteurs.

    Draco : Hey. Ce n’est pas nous qui leur ressemblons mais eux qui nous ressemblent. N’inversez pas les rôles.

    Blaise : Nous on est les vrais modèles.

    Moldu 2 : Oui, si les sorciers existaient vraiment.

    Blaise : (soupir) C’est dans ces moments là qu’on regrette que Voldy ai loupé son coup.

     

    - Serment inviolable, tu es sur que c’est ce que Rogue à dit ?

    Théodore : Si il ne savait pas que ça existait et que ça existe y a de forte chance que oui.

     

    - On peut pas violer un serment inviolable.

    Draco : Waouh Granger, l’intelligence de ton rouquin n’a de cesse de me surprendre. Quelle perspicacité.

    Hermione : Mais tais toi un coup pour voir.

     

    - Je … j’avais déjà compris ça tout seul. Etonnant non.

    - Tu comprends pas.

    Draco : Qu’on m’explique parce que là je capte plus rien.

    Blaise : Problème de connexion ? Tant mieux tu la mettras en sourdine.

    Ginny : Sympa les amis.

    Blaise : On t’a déjà dit qu’il était pas notre ami, non ? C’est toujours le cas.

     

    - oh merde.

    Hermione : Brown ?

    Lavandearrive.

    Hermione : Trop forte.

     

    Elle souffle pour mettre de la buée sur la vitre.

    Théodore : Mais ça salie tout !

    Elle dessine un cœur.

    Blaise : C’est moi ou c’est moche ?

    Hermione et Ginny et Draco et Théodore : C’est moche

    Ecrit R + L

    Draco : C’est plus de son âge ce genre de niaiserie.

    Hermione : A croire que si.

     

    - Tu me manques.

    Draco : Oooooh pauvre… Weasley ! J’pourrais pas vivre avec cette autruche près de moi.

    Ginny : Rassure-toi, lui non plus.

     

    - Charmant.

    Blaise : Solidarité Gryffondoresque… ou pas.

    - Mais elle passe son temps à me bécoter. J’ai les lèvres toutes gercées. Regarde.

    Ronald s’approche, Harry s’enfonce dans son siège.

    Draco : Pauvre chou, quand on a pas l’habitude c’est vrai qu’on en a vite trop.

     

    Hermione arrive devant le compartiment.

    Blaise : Ca va barder ! J’ai hâte de voir ça.

    S’arrête.

    Blaise : Oh oh oh elle va s’énerver.

    Repart.

    Blaise : Et bah non. J’suis triiiste.

    Draco : On s’en fou.

    Blaise : Sympa les amis.

    Draco : Mais on est pas ami, tu as oublié ?

     

    - Bon qu’est ce qui se passe alors ?

    Blaise : Gné ?

    - Qu’est ce qui se passe si on viol un serment inviolable ?

    Blaise : Bah on peut pas puisqu’il est inviolable… pff.

    - On meurt.

    Blaise : Oooooh ? Aaah ? Oh bah je… j’ai appris un truc.


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  • - Voldemort mieux a choisit… Draco Malfoy, pour une mission.

    Draco : C’est bon quoi, il peut pas avoir l’air encore plus surpris ? J’suis sur qu’il peut faire

    - Caà l’air dingue je sais.

    Blaise : Dinde mais vrai.

    Draco : DinGUE !

    Blaise : Je sais.

     

    - Dumbledore à confiance en Rogue, par conséquent… moi aussi.

    Théodore : Ouai, mouton de panurge en clair. Si l’un fait les autres suivent ?

    Hermione : Mais non, mais ils ont confiance en Dumbledore, tu peux pas comprendre.

    Théodore : Quand on voit comment ils ont après réagit envers Rogue, permet moi de ne pas douter du fait qu’ils n’avaient pas confiance en Rogue mais en Dumbledore simplement.

     

    - Dumbledore peut commettre des erreurs.

    - Tu es aveuglé par la haine. C’est par ça que tu es aveuglé.

    Théodore : Lupin est borné quand même.

    Blaise : C’est Lupin ?

    Théodoreet Hermione : T’avais pas reconnu ?

    Blaise : Bah il fait un peu trop…

    Draco : Classe.

    Théodoreet Hermione : C’est évident.

     

    - Ouvre la bouche.

    Draco : Oh nán mais s’il vous plaiiit quoi. J’suis venue regarder un film aussi Pottyesque soit-il… et non pour devenir aveugle ou être malade.

    Ginny : Oh la ferme.

     

    Ysaline : Mais… j’veux de l’action moi pas de l’amuuur.

    Mégane : Le truc, vois-tu, c’est qu’on s’en fou un peu de ce que tu veux ou pas.

     

    - Tu n’as pas confiance ?

    Blaise : Oh mais si !

    Théodoreet Draco : La ferme.

    Moldu 1et 2 : Vous pouvez vraiment pas faire un effort et ne plus parler ?

    Théodore : On pourrait… oui.

    Draco : Mais on veut pas… non.

     

    - Je vais…

    Harry décale pour que Ron s’installe.

    Ginny : Si c’est pas désolant que Ron soit aussi stupide dans une fiction que dans la réalité… c’est tout à fait lui.

    Draco : J’ai le droit de dire qu’il est stupide, moi-aussi ?

    Ginny : Tout droit réservé, copyright.

    - Un gâteau ?

    Draco : (moqueur) Qu’il est gentiiiil.

    Ginny : (moqueuse) Qu’il est idiooot.

     

    Dans un « débarra »

    Draco : C’est quoi ce trou à rat ?

    Ginny : Jaloux, Malfoy ?

    Draco : Jamais.

     

    - Nous sommes suivis… nous tous.

    Blaise : C’bête hein.

    - Molly évite de sortir de la maison… Ce n’est pas facile.

    Ginny : Heureusement que c’est fini maintenant.

     

    - Si Dumbledore voyage, alors le ministère n’en est pas informé. Mais c’est peut être ce que Dumbledore souhaite.

    Draco : Qu’est ce qu’on s’en fiche.

    - Quand à Draco Malfoy.

    Draco : Ca par contre c’est intéressant.

    Théodore : Pas du tout. C’est inutile et on t’accorde trop d’importance.

    Draco : T’es jaloux !

    Théodore : De quoi ? De pas être présent dans ce film ? Du tout. Au moins je suis pas ridicule.

    Draco : Mais ca prouve que tu n’es pas intéressant.

     

    - L’objet qui intéresse tant Draco Malfoy.

    Draco : Mais qu’est ce qu’ils ont à toujours dire mon nom et mon prénom. L’un ou l’autre ça va très bien.

     

    Ysaline : Draco Malfoy par-ci, Draco Malfoy par-là… et gnagnagni et gnagnagna quoi.

     

    - C’est une armoire à disparaître.

    Ysaline : Et kékécé que ce truc ?

    Mégane: Baaah une armoire…

    Jessie : … à disparaître.

     

    - Ca faisait fureur quand Voldemort à commencé à devenir puissant.

    Blaise : Et c’est partit pour un cours d’histoire passionnant.

     

    - C’est très capricieux ce truc.

    Blaise : Et on comprend donc pourquoi Draco y a pensé.

    Draco : Je vois pas le rapport.

    Théodore : Tu es très capricieux aussi, Draco… je pense que ça vient de là.

     

    - C elle de Barjow & Beurk ?

    - Elle n’a pas bougé. Elle y est toujours.

    Blaise: Forcément si elle n’a pas bougé.

    Draco : Forcément si je comptais l’utiliser pour aller d’un point A vers un point B. Ce que ça peut être bête parfois un sorcier.

    Théodore : Plaint toi pas, y en a qui sont toujours bête.

    Draco : Mais non mais non, dis pas ça. Parfois tu es intelligent toi aussi.

    Hermione : Il parlait de toi, Malfoy.

    Théodore : Tu me fais plus la gueule ?

    Hermione : (soupirant) Malgré moi, je suis forcée de constater que tu es de loin le moins casse pied.

    Théodore : Oooh mais ça je sais.

    Ginny : A peine vantard.

     

    Remus est aux aguets.

    Hermione : Gin’ y s’était passé quoi le soir de Noël ?

    Ginny : Rien, j’m’en serais souvenue sinon.

     

    Ysaline : Y nous fait quoi là le Mumus ?

    Mégane : J’sais pas.

    Ysaline : Bah tu devrais.

     

    - Ron est allé se coucher ?

    - Pas encore, non.

    Blaise : Génial les conversations. Et je déconne pas hein.

    - Ton  lacet.

    Blaise : Oh mais non faut pas pousser non. Y a rien de plus intéressant à nous montrer qu’une rouquette qui refais un lacet à un décoiffé ?

    Ginny : On dit rouquine.

    Théodore : Et qu’est ce que t’as contre les décoiffés ? 

    Blaise : Mais rien, mais rien… déstresse.

     

    - Joyeux Noël Harry.

    Ysaline : J’espère que ton cadeau t’aura plu.

    Jessie : Quel cadeau ?

    Ysaline : Bah… le fait qu’elle lui refasse ses lacets, c’était pas ça son cadeau ?

     

    Une boule de feu atterrit et brûle tout autour de terrier.

    Draco : C’est pas pour être méchant hein… mais c’est pas comme ça qu’on fait pour faire sortir les nuisibles de leur terrier ?

    Ginny frappe Draco.

    Ginny : C’est pas pour être méchante hein… mais c’est pas comme ça qu’on fait pour faire taire les imbéciles qui parlent trop ?

     

    Bellatrix transplane et arrive.

    Draco et Blaise : Ca c’est la…

    Théodore : (les interrompt) Chut, je devine : La grande classe. C’est ça.

    Hermione : A tous les coups c’est ça.


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  • Bellatrix « prend la fuite » en souriant.

    Theodore & Blaise : Ils ont vraiment attaqués à Noël ?

    Hermione : (indignée) Nooon. Ils font n’importe quoi là.

     

    Harry cours après Bellatrix.

    Draco : Je dois avouer qu’ils ne se sont pas trompés à propos de Potty.

    Ginny : (surprise) Ah oui ?

    Draco : Il est idiot à souhait.

     

    Ginny cours ensuite après Harry et saute à travers les flammes.

    Draco : Et ils ne se sont pas trompés sur toi non plus.

    Ginny : (les sourcils froncés) Tu sais que je sais frapper n’est ce pas ? Et que je n’hésiterais pas à recommencer.

    Draco : Tu sais, les coups de poings c’est comme l’alcool… on n’oublie pas qu’on en a prit. Et on ne se sent pas bien après.

    Blaise : Hein ?

    Draco : Mais oui Blaise : un coup de poing ça fait mal donc on a mal et donc ou oublie pas puisqu’on a mal… et pour l’alcool bah… si on en boit trop on… ne se sent pas bien le lendemain et on s’en souvient.

    Theodore : Et il parle en connaissance de cause.

     

    - J’ai tué Sirius Black. J’ai tué Sirius Black.

    Draco: Elle a tué Sirius Black ? Elle est sérieuse ?

    Blaise : C’était dit au début du film.

    Theodore : Ca a aussi un peu été dit dans la gazette pendant des semaines.

    Draco : Vous êtes sérieux ?

    Hermione : L’avantage avec lui c’est qu’on sait que ce n’est pas une coloration.

    Draco : (moqueur) Tu es adorable Granger. Moi aussi je t’haine.

    Blaise : (riant) Entre celui qui l’haine et celui qui l’aime… elle a l’embarras du choix la lionne. (Il reçoit un coup de pied assez violent) Aieuh ! Ca fait mal ! Qui a osé me faire mal. Draco c’est… Non Theo ! Apprends à être moins violent, ça te jouera des tours plus tard.

    Theodore : Apprends à être moins idiot et je reconsidérerais la question.

     

    Ginny est seule et visiblement elle ne sait plus où aller.

    Draco : Quand on a plus son chevalier servant c’est plus effrayant quand même.

    Ginny : Le fait d’être un imbécile profond ne t’a jamais dérangé ? Tu n’as jamais eu envie d’être moins… et plus…

    Theodore : Moins Draco et plus Theodore ? Bien sur que si, personne de censé ne m’a jamais envié. (Le brun regarde Draco) Donc en fait non il n’a jamais eu envie d’être comme moi.

    Hermione : Ce n’est pas la modestie qui t’étouffe toi.

    Theodore : Imagines un peu si elle m’étouffait… je mourrais étouffé… quelle perte tragique pour l’humanité.

     

    - Harry ?

    Ysaline : Elle à peur vous croyez ?

    Mégane : Oui.

    Ysaline : De quoi ?

    Jessie : Je pense qu’elle a peur de toi…

    Mégane : … tout le monde à peur de toi…

    Jessie : Ce qui est tout à fait…

    Ysaline : Méchant à mon égard.

     

    Ginny recule ; un homme avance vers elle.

    Ysaline : (hurlant) FENRIR ! C’est…

    Mégane et Jessie : (toutes petites dans leur siège) On la connait pas.

     

    Theodore : Vous pensez qu’il y a d’autres sorciers ici ou que c’est Draco qui a une voix de fille ?

    Draco : (indigné) Theo ! T’es censé être un gentil toi… c’est Blaise le méchant dans l’histoire. Et moi la victime innocente.

    Hermione : Autant que Draco Malfoy ne puisse être innocent.

    Blaise : Cela sonne comme une évidence…

     

    Harry arrive en courant et se met devant Ginny.

    - Stupefix !

    Draco : C’est parti… au moins chez les moldus ils ont compris que c’était mieux de virer Potter de Poudlard… ça fera déjà un cinglé en moins.

     

    Tonks, Remus, Harry et Ginny sont tous les quatre dos à dos.

    Draco : Navrant quand même. On n’a même pas assez confiance en Potty pour le laisser se débarrasser d’une maboule.

    Blaise : Cette maboule est ta tante, Draco.

    Draco : Ca ne l’empêche pas d’être folle à lier tu sais.

     

    Bellatrix et Fenrir transplanent et détruisent le Terrier.

    Draco : Ce n’est pas une grosse perte.

    Ginny : (le frappe) Ce n’est pas une grosse perte non plus…

    Theodore: Weasley t’es troop gentille.

    Ginny: Pourquoi ?

    Blaise: Tu lui arranges le portrait là.

    Hermione : Pauvre Malfoy… vous êtes tous contre lui.

    Blaise : Il n’est pas le plus à plaindre.

    Hermione : Ah oui ? Pourquoi ? Qui est le plus à plaindre ?

    Blaise : Pourquoi ? Simplement parce qu’il n’a pas à se supporter lui-même… et le plus à plaindre c’est moi. Un blond idiot et un brun je-sais-tout.

    Hermione : (regarde Theo, amusée) Je-sais-tout hein…

    Theodore : Techniquement parlant… non. Il y a forcément des choses que j’ignore. Après si l’on me compare à … (désigne les deux autres serpents) ces trucs là… oui … forcément.

     

    Ysaline : Pourquoi j’entends toujours des Weasley, des Malfoy et des…

    Mégane : Et des tais-toi Ysa ?

    Ysaline : Non et des Nott.

    Mégane : Parce que tu as … (percute les mots de la folle) N’arrêtes pas de dire n’importe quoi.

    Ysaline : (indignée) Moi ! Tu rigoles ce n’est pas mon genre. Paaaaaaas du tout. Je ne dis jamais n’importe quoi, ma chère.

     

    - Tu dois prendre conscience de qui tu es.

    - Je sais qui je suis Hermione, d’accord.

    Draco : Moi aussi je sais qui il est.

    Blaise : Tout le monde le sait… imbécile. C’est Harry Potter.

    Draco : Tais-toi Blaise. Tu es fatiguant à la longue.

    Theodore : Parce que tu penses qu’il t’écoutera ? Que tu es naïf… petit Poufsouffle.

    Hermione : Tout les Poufsouffle ne le sont pas.

    Theodore : Cite moi UNE personne Granger.

    Hermione : (sure d’elle) J’ai quoi en échange.

    Theodore : Le droit d’avoir raison et moi tord.

    Hermione : Zacharias Smith.

    Theodore : Il est à Poufsouffle lui ?

     

    - Oh mon Ronron.

    Draco : Weasley est fou.

    Blaise : Weasley est cinglé.

    Theodore : Weasley est débile de supporter une…

    Hermione : Une bécasse pareille.

    Blaise& Draco & Theodore : Nous sommes d’accord.

     

    - Excuse moi il faut que j’aille vomir.

    Theodore : T’aurais pu dire que tu allais à la bibliothèque.

    Draco : Ou voir Mcgonagall pour demander plus de renseignement sur un détail que tu n’aurais pas compris.

    Blaise : Que tu allais rejoindre un petit copain secret et à Serpentard… mais bien fort et là ton rouquin aurait bondit pour sauver sa décoiffée en détresse. 1h18m12s]


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  • Dumbledore est debout dans son bureau

    Draco : Rooh mais non. Alors qu’ils pourraient mettre une scène avec mon faux moi si imparfait… ils mettent un Dumbledore.

    Hermione : Malfoy, rappelle-moi le nom du film s’il te plait.

    Draco : Draco Malfoy et le prince…

    Blaise et Theodore : Est le prince des abrutis.

    Ginny : Toujours aussi aimable à ce que je vois.

     

    Harry plonge sa tête dans la pensine.

    Ysaline : C’est quel souvenir là ?

    Mégane : Le jour où Ron plaque Lavande parce qu’elle parle trop.

    Ysaline : J’en ai pas souvenir.

    Mégane : Normal…

     

    - Tom, si j’étais au courant je ne pourrais pas vous le dire.

    Ysaline : Ce mec c’est Voldy ! Mon dieu,  y a vachement changé par rapport aux deux.

    Jessie : Cette fille est mon amie ?

    Mégane : Non non t’en fais pas.

     

    - Merci pour l’ananas, vous aviez raison… c’est mon préféré.

    Draco : C’est à noter dans les anales…

    Blaise : Voldemort était un fayot.

    Hermione : (désespéré) Theodore, le jour où tes amis seront devenus intelligent… fais moi signe.

    Theodore : N’espère pas trop dans ce cas.

     

    - Oui monsieur, vous êtes le seul à qui je pouvais m’adresser.

    Blaise : Le lèche cuuuuuuuuuuul. Le lèche cuuuul.

    Theodore : Si les mangemorts savaient ça…

     

    - Les autres professeurs ne sont… ne sont pas comme vous.

    Theodore : Et heureusement.

    Hermione : Et pourquoi cela, Rogue était mieux peut-être ?

    Draco : Evidemment que oui ; Slughorn était… idiot. Croire que Potter était bonne en potion… la bonne blague.

    Theodore : Et pourquoi pas que Draco est intelligent aussi.

    Blaise : Merci Theo.

    Theodore : De quoi ?

    Blaise : De ne pas m’avoir prit en tant qu’exemple.

    Theodore : Je n’en avais besoin que d’un seul. Ce sera la prochaine fois.

    Ginny : Je pense que votre gentillesse entre vous ne deviendra jamais quelque chose auquel je me serais habituée.

    Blaise : Et c’est tant mieux.

     

    - Ca s’appelle, si je me rappelle bien… les…

    Ysaline : Depuis quand il a une mémoire défaillante ?

    Mégane : Mais c’est pour un effet de style.

    Ysaline : Oui mais là on parle quand même de Tom Jedusor. Tom le-futur-psychopathe Jedusor. Voldemort !

     

    Ginny : Zabini ! Pour la dernière fois : TAIS-TOI.

    Theodore : Je suis on ne peut plus d’accord avec Weslette.

     

    Ysaline : Mais tuez moi, je deviens folle.

    Jessie : Si on avait dû te tuer dès que tu étais folle…

    Mégane : Tu serais morte depuis bien longtemps.

    Ysaline : Je ne crierais pas au complot, mais je n’en pense pas moins. Pourtant, arrêtez un peu de vous acharnez contre moi et tendez l’oreille… vous me direz ce que vous entendez.

    Méganeet Jessie : C’est simple : On entendra enfin le film.

    Ysaline : Bon là … je me retiens plus : COMPLOT.

     

    Theodoreet Draco : Aurions nous un Blaise numéro deux dans la salle ?

    Blaise : Comment ça ?

    Draco : Qui hurle au complot à tout va.

    Theodore : Qui ne sait pas parler moins fort.

    François(moldu 2) : Oui bon, là c’est l’hôpital qui se fou de la charité.

    Theodore : Connait pas ce proverbe ; vous pouvez le répéter pour que je le note ?

    François : Il se fou de moi, l’imbécile.

    Samuel(moldu 1) : Je pencherais plutôt pour le fait qu’ils soient sorciers et aient d’autres expressions.

    François : Sorciers ? Et pourquoi ne pas me dire que les dragons existent et Merlin l’enchanteur aussi.

    Draco : Mais c’est le cas ; sauf qu’il s’appelait Merlin, tout court.

    Blaise : Il ne s’appelait pas du tout comme ça. C’était Merlin.

    Draco : C’est ce que j’ai… (Comprends Blaise) Crétin.

     

    - C’est sans doute le souvenir le plus important que j’ai recueillis.

    Draco : Imaginons donc les autres qu’il a… ça fait peur.

    Blaise : Non pas vraiment.

    Hermione : Du plus bête au plus… au moins bête je dirais : Zabini, Malfoy, Theodore.

    Theodore : T’aurais pu au plus intelligent, j’t’en aurais pas voulu hein.

    Hermione : Mais moi si.

     

    - C’est aussi un mensonge.

    Jessie : Y est trop fort quand même… pour trouver que c’t’un mensonge.

    Ysaline : N’importe qui ayant lu le livre aurait pu le dire, c’est écrit dedans.

    Mégane : No coment.

     

    - Je le soupçonne d’en avoir honte.

    Theodore : Comme c’est étrange. S’il en avait été fier, n’aurais-ce pas été logique de le garder tel quel ? S’il le modifie, c’est forcément qu’il n’en est pas fier. Non mais franchement.

    Hermione : Je finirais peut être par accepter l’emploi du terme « intelligent » pour toi.

    Theodore : Trop aimable.

     

    - Ce souvenir est la clé de tout.

    Blaise : Il n’a qu’à en faire un double, ce n’est pas sorcier.

    Hermione : Pour lui, par contre… ça passera peut être à un terme plus… fort.

    Theodore : Et de par ce fait… plus approprié.

     

    - Tu n’as pas le choix.

    Hermione : Mais l’a-t-il eu un jour ?

    Blaise : Laisse-nous récapituler.

    Draco : En première année il a fait quoi ?

    Hermione : Le couloir interdit.

    Blaise : Avait-il eu le choix ou l’avait-on forcé ?

    Hermione : Je suppose… qu’il a eu le choix, même si en quelque sorte non.

    Theodore : Il n’y a pas de « en quelque sorte ». Le choix : soit on l’a… soit on ne l’a pas.

    Hermione : Alors oui.

    Theodore : En seconde il a été dans la chambre des secrets… durs d’oublier. Et il a eu le choix, là aussi.

    Ginny : Non, j’y étais prisonnière et il voulait…

    Theodore : Dans les faits il l’a eu ; il aurait pu décider de te laisser moisir là-bas.


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  • - Tu ne dois pas échouer.

    Theodore : Je dois avouer que le contraire m’aurait légèrement… étonné.

    Ginny : Comment ça ?

    Theodore : Que Dumbledore ne dise « Tu dois échouer Harry » ; c’est évident qu’il ne doit pas échouer… c’est presque le prendre pour un idiot que de le préciser.

    Samuel : Vous taire n’est pas interdit, jeunes gens. Bien au contraire.

    Blaise : Vous mêler de votre pop corn non plus.

     

    - […] Vous oubliez votre queue de rat.

    Blaise : Il ne sait vraiment pas parler aux femmes.

    Draco : C’est quoi ça ? Une troisième année… tout au plus. En plus à Gryffondor ; pour une fois… il passerait presque pour quelqu’un de normal. (Se fait frapper) Bon c’est qui cette fois ci ? Theo ou Weaslette ?

    Theodore : (indigné) Tout de suite on m’accuse ! Sans preuve, c’est tout de suite moi. Mais non ! On n’accuse pas sans preuve Draco, c’est… non.

    Draco : Mais la ferme Theo, tu parles pour rien dire là.

     

    Ysaline : Je confirme !

    Mégane : Tu confirmes ?

    Ysaline : Oui je confirme.

    Jessie : Ahein, intéressant mais… tu confirmes quoi au juste ?

    Ysaline : Bah ce que Theodore dit.

    Mégane : Ahein. Nous voyons Slughorn à l’écran et tu penses à… Theodore. T’es givrée.

     

    - Oh mais c’est le prince des potions en personne.

    Draco : Ils m’ont fait une teinture.

    Hermione : Mais c’est que tu peux être drôle des fois.

    Blaise& Theodore : (surpris) Tu trouves ?

    Hermione : Non.

     

    - Est-ce que je peux vous demander quelque chose, monsieur ?

    Draco& Ysaline : Non.

    Theodore& Mégane : De pire en pire.

     

    - L’autre jour j’étais à la bibliothèque […]

    Hermione : Comme si on pouvait le croire. Harry ? A la bibliothèque ? Comme si c’était possible.

    Theodore : A t’écouter c’est comme demander à quelqu’un qui a le vertige de jouer au Quidditch.

    Hermione : En gros c’est ça l’idée, oui.

     

    - Il vaudrait mieux poser la question au professeur Rogue.

    Blaise : Il n’est donc pas au courant que Rogue aime Potter autant que Draco n’aime Potter ?

    Ginny : Tu as signalé deux fois Harry.

    Blaise : J’en suis conscient oui, c’était une manière détournée d’essayer de faire comprendre à une rousse que peu de monde apprécie Potter.

    Ginny : La manière détournée pour faire comprendre ceci à une rousse n’aura pas fonctionné sur ma personne. Ta manière détournée ne prouvant, à mes yeux, que seuls des Serpentard ne l’aiment pas.

    François : Je n’aime pas non plus Harry Potter.

    Blaise : Mais vous en s’en fou.

    Ginny : De toi aussi on s’en fou, Zabini.

     

    - Oui, il n’y a pas de lumière sans obscurité.

    Ysaline : C’est tout à fait discutable. En plein jour par exemple… il y a de la lumière, celle du soleil… mais pas d’obscurité. Ou alors…

    Mégane : (moqueuse) Ou alors pas visible.

    Ysaline : (incertaine) Ouai, mais ça me parait bizarre comme truc quand même. Peut-on voir l’obscurité ? Puisque par principe l’obscurité est… obscure.

     

    - C’est ce que vous avez dit à Tom Jedusor lorsqu’il est venu vous voir ?

    Theodore : Exaspérant. Quel manque de… tact. De toute évidence… il était utile de préciser à Potter qu’il ne fallait pas échouer.

     

    - Dumbledore vous en a parlé.

    Jessie : Comme si c’était surprenant.

    Ysaline : Ce n’est pas moi qui ai parlééééééééé.

    Mégane : Tais toi Ysa.

     

    Blaise : Non non, j’ai compris ça tout seul.

    Theodore : Tais toi Blaise.

     

    Ysaline& Blaise : Complot.

     

    - C’est vous Potter. Ex-Excusez moi, je suis occupé pour le moment.

    Draco : MUHAHAHA ! Podfleur a baissé dans l’estime de ce crétin… voilà qu’il remonte dans la mienne. (Se protège) Et non on ne me frappera pas. (Se prends un coup de pieds) Bon ! C’est pour quelle raison cette fois ci ?

    Ginny : Pour le plaisir de nos oreilles.

    François : Ah ! Parce que ça vous fait plaisir, à vous, d’entendre cet énergumène s’égosiller ?

    Ginny : Pas spécialement… mais le taper oui.

    Theodore : Vous voulez essayer ?

     

    Ron est « gaga » dans le vide.

    Draco : Ca lui donne un air…  intelligent.

    Blaise : Ou pas.

    Hermione : (à Ginny) Oh non, je pense deviner ce que les moldus ont fait.

     

    Mégane : Oyé.

    Ysaline : C’est d’une pertinence et d’un intérêt à casser la baraque.

     

    - C’est magnifique, hein. La lune.

    - Superbe.

    Blaise: Allez le faux-Potter, on recommence mais avec plus de punch.

    Hermione : On appelle ça un acteur. C’est un métier.

    Draco : Il est payé pour être Potter ? Bon en même temps je n’imagine pas le calvaire que ça doit être.

     

    - La boite était sur ton lit.

    Theodore : (moqueur) Parfaitement logique qu’il ne les dévore, dans ce cas.

    Hermione : T’as fini d’être désagréable, toi ?

    Theodore : Oui m’dame.

    Blaise : (idiot) Généralement on dit « m’man » ; ça fait plus… mieux.

    Ginny : (surprise) Rien à redire ? Aucun « remballage » ; aucune baffe ? Rien ?

    Blaise : Oups.

     

    - J’ai voulu en goûter une… ou une vingtaine.

    Ysaline : Le goinfre.

    Jessie : (à Mégane) La prochaine fois on achète du pop corn.

    Mégane : Si tu veux, perso… je n’aime pas.

    Jessie : Pas pour nous… pour elle ; si elle mange elle parlera moins.

     

    - J’n’arrête pas de penser à elle.

    Theodore : Flatteur pour toi Hermione.

    Blaise : Depuis quand tu l’appelles Hermione ?

    Theodore : Depuis quand t’écoutes ce que je dis ?

    Blaise : Depuis que ce n’est pas à moi que tu parles. Quand la conversation ne me regarde pas, j’t’écoute toujours.

    Theodore : Crétin.


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