• Bellatrix lance, en hurlant, la marque des ténèbres dans le ciel.

    Blaise : Et c’est pas n’importe qui qu’est mort… attention.

    François : Bien sur que si c’est n’importe qui.

    Samuel : C’est Dumbledore ! Dum-ble-dore !

    Francine : (tape la tête de Samuel) Tais toi donc un peu !

     

    Bellatrix marche sur la table et brise tout.

    Blaise : Putain ! Comment j’voudrais trop être à sa place !

    Draco : Tu voudrais être ma tante ?

    Theodore : Tu voudrais avoir passé plus de dix ans à Azkaban ?

    Blaise : Non ! Je voudrais pouvoir marcher sur la table et tout casser !

    Draco : On a dû te bercer trop près des murs, toi.

    Blaise : J’pense pas qu’on m’ai un jour bercé.

     

    Ils partent. Harry les poursuis.

    Blaise : Au pire il se fait surprendre et il est zigouillé.

    Draco : Tu appelles ça le « pire » toi ?

    Theodore : Lui trouves plutôt que c’est le « mieux »

     

    - Hagriiid ! Wou-Hou !

    Blaise : Elle veut faire quoi avec Hagrid ?

    Draco : Certainement pas… ce que tu es en train d’imaginer.

    Blaise : Qu’est ce que t’en sais ?

    Draco : C’est… Hagrid. Et elle est marié.

    Blaise : Mpf… ma mère ne tuait jamais un de ces maris avant d’être sure d’en avoir un autre... ça veut rien dire.

     

    - Rogue ! Il avait confiance en vous !

    Draco : Rooh c’est bon… y a pas mort d’homme quoi.

    Blaise : Et bien… techniquement parlant.

    Draco : Et il chie une pendule pour pas grand-chose.

    Theodore : Marrant… tout à l’heure j’avais plus l’impression que c’était toi.

    Draco : Theo… Theorible !

    Theodore : Blaise me l’a déjà fait… ainsi que Theobaise, Theobèse, Theotoilette, Theoffensé et j’en oublie sans doute.

     

    Bellatrix met le feu à la cabane de Hagrid et saute de joie.

    Blaise : Si elle était pas si vieille… j’l’épouserais !

    Theodore : Quand j’dis que t’as des goûts de chiotte… j’suis pas loin de la réalité.

    Blaise : j’ai très bon goût, merci !

    Hermione : Quand on voit tes amis… on en doute.

    Blaise : C’est de la méchanceté gratuite ça.

    Hermione : Et tu es choqué que des Gryffondor ne s’abaissent à ça ?

    Blaise : Non… je suis choqué que tu penses que je suis choqué. (Chantonne) Il en faut plus pour me choquer, vraiment plus pour me choquer…

     

    - Battez vous !

    Blaise : Comme s’il avait la moindre chance contre Rogue…

    Theodore : C’est L’Eluuuuuuuuuuuuuuuuuuuu … ou pas.

    Hermione : (tapes Theodore) Non mais oh ! Il n’a rien fait ! C’est plus de la méchanceté gratuite là… c’est de la connerie profonde.

    Theodore : Ca te va bien de dire ça.

    François : Il a beau m’enquiquiner depuis pas mal de temps… j’avoue que vous vous moquez du monde.

    Theodore : Merci François… merci.

     

    - Battez vous espèce de lâche !

    Theodore : J’voudrais rien dire mais il aurait toujours pu intervenir quand il voyait Dumbledore en mauvaise position. Il a rien fait… il a mal placé pour insulter quiconque de lâche.

    Blaise : Toi et ta logique à deux balles.

    Theodore : Bah quoi … il a pas bougé son cul. Il a préféré rester à se faire un torticolis à regarder son idoooole se faire tuer par ce « bon à rien » de Rogue.

    Blaise& Draco : Theo…

    Theodore : (soupire) La ferme…. Mais ça n’empêche que j’ai raison.

     

    - Il appartient au Seigneur des Ténèbres

    Hermione : Jolie excuse.

    Blaise : C’est la vérité… non ?

    Hermione : Mais c’est une excuse aussi.

    Blaise : Tu m’excuses hein mais … t’es bête.

     

    Rogue regarde Harry, allongé dans l’herbe.

    Djou : Putaiin ! Mais il a trop la classe quand même !

    Ysaline : Plus que toi, c’est sur.

    Djou : C’est l’alcoolique qui se moque du bourré la !

    Ysaline : Je suis pas alcoolique et tu n’es pas bourrée…

     

    - Sectumsempra !

    Blaise : NAOOOOON Roguinouuuuu !

    Rogue bloque le sort et s’approche de Potter.

    Draco : A mort Potter !

     

    - Vous osez utilisez mes propre sorts contre moi, Potter. Oui… je suis le Prince de Sang-mêlé.

    Blaise : Woua c’est tout ? « Je suis le prince de sang-mêlé » c’est tout ce qu’on a !

    Theodore : C’est juste un peu le titre du film et ça fait… même pas trois secondes sur la bande.

     

    Djou : Là je porte plainte ! C’est une honte de faire … ça comme ça ! C’est…

    Mégane : (choqué) Non ! C’est… han !

     

    Harry voit la marque au dessus du château.

    Blaise : T’façon il le savait que Dumbledore était mort… il l’a vu mourir.

    Theodore : (tout content) Et il n’a rien fait. Il est donc resté inactif.

    Blaise : T’es doué pour énoncer des faits logique, hein.

    Theodore : Et même pour énoncer des faits illogiques. J’suis doué en tout et pour tout.

    Hermione : Sauf pour la modestie.

    Theodore : Me dit « Madame-j-étale-ma-science »

     

    Ils sont tous réunis autour de la tour où Dumbledore est mort.

    Ginny : C’est pas bizarre que les élèves puissent être présent ? C’est un cadavre après tout… non ?

    Blaise : C’est THE Dumbledore, cocote… donc oui c’est bizarre. Mais bon. Quand on sait que le seul prof intelligent est parti.

    Hermione : C’est un film.

    Blaise : Et tu vas pas me faire croire qu’il était resté… j’te croirais pas.

     

    Harry est près du corps de Dumbledore, il retire des cheveux blancs etc.

    Blaise : Hey c’est son directeur c’est pas son pote, ni son père, ni son grand-père, ni sa mère, ni…

    Draco : je pense qu’on a comprit l’idée.

     

    Ginny s’avance.

    Blaise: Robot Weaslette.

    Ginny: Robot Weaslette emmerde Cretin Zabini.


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  • Harry pleure dans les bras de Ginny.

    Blaise : (regarde Ginny, amusé ; puis fais semblant d’être triste) Bouhouhou Weasleeeette je suis triste aussi

    Ginny : J’vais te donner une raison d’être triste et de pleurer, moi.

    Blaise : Pourquoi ? Comment ça ? Gné ?

    Theodore : (lui souffle) Elle veut te taper.

     

    Ils écoutent la musique « dramatique »

    Draco : C’est normal que j’ai envie de rire plutôt que de pleurer ?

    Theodore : (embêté) Oui c’est… normal.

     

    On voit Hermione qui se retient de pleurer.

    Theodore : (moqueur) C’est mignon ! T’es jalouse que ce soit Ginny qui réconforte Potter ?

    Hermione : Nott… T’es con ou t’es con ?

     

    Djou : (se retourne et hurle dans la salle) IL EST PAS CON !

    Mégane : (entre ses dents) Djou.

    Djou : Oui ? (tout sourire)

    Mégane : Je te connais pas.

     

    Mcgonagall lève sa baguette en l’air.

    Blaise : Elle a pas d’bol, quand même.

    Draco : Pourquoi ?

    Blaise : Et bien elle…

    Theodore : (l’interrompant) Laisses moi deviner ! Elle n’a qu’une seule baguette, elle.

    Blaise : Theo… t’es trop fort.

    Theodore : Et toi trop prévisible.

     

    Pomfresh lève aussi sa baguette. En pleure.

    Ginny : Mon frère est nul… même chez les moldus !

    Draco : En même temps… vu sa manière de choisir ses amis…

     

    Luna. Puis d’autres élèves le font aussi. Ron regarde autour… puis le fais aussi.

    Ginny : Je vais … pleurer…

    Blaise : Je suis là si tu veux.

    Ginny : J’ai dis pleurer, pas « me lancer à la recherche d’un punching ball »

    Theodore : Ca… c’est fait.

     

    Harry pleure toujours dans les bras de Ginny.

    Blaise : Ok y a eu un mort… mais c’est que le directeur quoi. C’est… que le directeur d’une école !

    Theodore : C’était comme un père, je suppose. Et lui comme un fils… vu comment Dumbledore le favorisait par rapport aux autres.

    Hermione : Jaloux. C’est pas beau d’être jaloux.

    François : Je vais me faire l’avocat du diable mais … dans le premier film c’était Serpentard les premiers et Gryffondor les derniers. Qu’on me rappelle qui a gagné la coupe grâce à des « points de dernières minutes » ?

    Hermione : (bas) Ca compte pas.

    Theodore : (à François) En fait j’vous aime bien, vous… c’est effectivement Gryffondor.

    Hermione : Oui mais… c’était mérité.

    Theodore : Effectivement… vous avez enfreint je ne sais combien de points du règlement, manqué de vous faire tuer et tout le tsoin tsoin… bravo !

    Hermione : Nous sommes le bien, nous.

    Theodore : Vous êtes le bien… mais vous le faites mal. Toi plus que les autres.

     

    Harry entre dans le bureau de Dumbledore.

    Draco : Il doit confondre avec sa chambre… on entre pas comme ça dans le bureau de…

    Theodore : Il y a passé tellement de temps que bon… ça doit sembler normal.

     

    Harry prends la baguette de Dumbledore.

    Blaise : VOLEUR ! VOLEUR !

    Theodore : Réfléchit, tête de pioche… il idolâtre Dumbledore ! Tu penses qu’il irait lui voler sa baguette ?

    Blaise : (hausse les épaules) J’te volerais la tienne sans problème, moi.

    Theodore : Mais tu m’idolâtres pas, toi.

    Blaise : Je te voue une passion secrète, Theo… Oooh Theo ! Que je t’aime !

    Theodore : (grimace) Vas chier Blaise. Enquiquine Draco, mais pas moi… Draco te croira, lui.

    Draco : Draco n’est pas si bête.

    Theodore : Theodore n’attend qu’une chose : que tu le prouves.

     

    - Il faut que vous sachiez, à propos du professeur Dumbledore… vous comptiez énormément pour lui.

    Draco : Ah ça ! Tout le monde le savait !

    Blaise : Non pas moiiii

    Theodore : Mais toi tu sais rien.

     

    - Tu penses qu’il l’aurait fait ? Draco.

    Draco : Granger ! Je suis pas ton pote !

    Hermione : Que c’est dommage. Ca ne peut pas changer.

    Draco : Plutôt embrasser… Zacharias Smith qu’être ton ami.

    Blaise : Oooh ! Ca je le retiens… si jamais on recroise ce blaireau un jour.

    Theodore : Je ne te conseille pas de faire ça… Draco. Vraiment pas.

    Draco : Bah pourquoi ?

    Theodore : Conseil d’ami.

     

    - Non. Non il a baissé sa baguette.

    Draco : Et j’peux pas la remonter, du con.

    Theodore : Toi ? Non… t’aurais jamais pu.

    Draco : Toi oui, peut être ?

    Theodore : Moi ? Mais j’aurais même pas été assez stupide pour la lever, ma baguette.

    Draco : Bah oui… monsieur Nott vaut plus que les autres.

     

    - Finalement c’était Rogue.

    Djou : (la tête entre les mains) Mais j’vais l’étrangler ce débile ! Rogue il est GENTIL ! GEN-TIL ! G-E-N…

    Ysaline : T-I-L

     

    - Ca a toujours été Rogue.

    Blaise : Ah bon ? Rogue a toujours été Rogue ? Je pensais qu’avant Rogue était … Hagrid ! Han imaginez !

    Draco : Ou Dobby… mon imbécile d’ancien elfe de maison.

    Theodore : S’il vous entendez… il se retournerait dans sa tombe.

    Blaise : (tentant d’imiter la voix de Rogue) Qu’est ce qui vous fait croire cela… monsieur Nott.

     

    - Et j’n’ai rien fait.

    Djou : Heureusement… sinon on aurait encore eu droit à Dumbledore et son « pouvoir de l’amûûûr »

    Mégane : Mais c’est vrai !

     

    - C’est un faux.

    Blaise : Un faux quoi ? Et pas un vrai quoi ?

    Theodore : En un mot : horcruxe.

     

    - Ouvres-le.

    Hermione l’ouvre.

    Blaise : Soumiiiise !

    Theodore : Tais-toi

    Blaise : (se tait)

    Draco : (entre dans le jeu de Theodore) Soumiiiis.

     

    - Au seigneur des Ténèbres, je serais mort avant que vous ne lisiez ceci, mais je veux que vous sachiez que c’est moi qui ait découvert votre secret. J’ai volé le véritable horcruxe et j’ai l’intention de le détruire dès que je le pourrais. J’affrontes la mort dans l’espoir qu’à l’heure où vous rencontrerez votre adversaire vous serez de nouveau mortel. R.A.B

    Blaise : RAB ?

     

    Djou : Mmmm Raaaaaaaab !

    Mégane : Regulus !

    Djou : Je sais… mais le rab c’est bien aussi.

     

    - Je ne reviendrais pas ici, Hermione.

    Draco : S’il avait pu dire ça… en première année.

    Theodore : Avoue tu voulais qu’il te sert la main.

    Draco : Privilégier Weasley à moi… fallait le faire niveau connerie, quand même.

     

    - Il faut que je finisse ce que Dumbledore à commencé…

    Blaise : Être vieux ? Être fou ? Être bête ? Faire du favoritisme plus flagrant que Rogue ?

     

    - Et… je ne sais pas où ça vas me mener mais…

    Draco : En même temps… il sait rien donc.

     

    - J’ai toujours admiré ton courage, Harry.

    Theodore : Granger… tu confonds « courage » et « connerie profonde ».

    Hermione : Le courage c’est Harry ; la connerie profonde c’est…

    Theodore : Toi ?

    Hermione : Toi.

    Blaise : Mmmm puisqu’on en est aux révélations… Granger : j’ai toujours admiré ton art de te mettre en avant, Theodore ta manière de toujours tout savoir, Weaslette ton jolie petit cul…

    Draco : Mmmm…

    Blaise : Euh Draco…. Non j’ai rien admiré chez toi.

     

    - Dis-moi tu crois vraiment que tu vas pouvoir trouver tout ces horcruxe tout seul ?

    Djou : Et toi tu sauras je suppose, grognasse.

    Mégane : (la tape) Oh !

    Djou : Excuse… excuse…

     

    - Tu as besoin de nous, Harry.

    Draco : Qui aurait besoin d’Granger ?

    Hermione : Toi.

    Draco : J’ai mieux qu’une Granger… j’ai un Theo.

     

    - J’avais jamais remarqué à quel point cet endroit été beau.

    Theodore : Euh… c’est pas là où Dumby s’est fait tuer

    Ginny : Je pense que si.

    Theodore : Alors il est bête…

    Hermione : Comme si tu le savais pas… c’est ce que tu dis depuis tout à l’heure.

     

    Ils regardent partir Fumseck

    Blaise : Un machin qui vole… chacun son trip après tout.

    Draco : Un oiseau. Le machin est un oiseau.

    Hermione : Je dirais même : Phénix.

    Draco : On s’en fou !


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  • Blaise : (se levant) Et bien c’était … étrange et instructif.

    Ginny : Je suis d’accord avec Zabini.

    Blaise : Hey ma jolie, j’te rappelle que j’ai un prénom… très joli ma foi.

    Hermione : (levant les yeux) Mais bien suuuur. Blaise Zabniiiiii tout le monde craque pour luiiii.

    Blaise : Même Granger le dit… enfin… j’aime pas Granger donc c’est con pour elle, hein… mais bon.

    Hermione : Zabini… sois tu es stupide, sois tu le fais exprès. Je ne sais que choisir.

    Theodore : Quand j’dis que tu es stupide, Granger… c’est évident que Blaise est stupide… lui aussi.

    Draco : En même temps… tout le monde est stupide à tes yeux, Theodore.

    Theodore : En même temps… vu comment j’suis génial. Et puis… Dracoooo t’es moins stupide que Blaise.

    Blaise : Ca j’te le rappellerais quand t’auras besoin de moi.

    Theodore : (amusé) Et quand aurais-je besoin de toi, Blaise ?

     

    Draco : Euh… pourquoi tous les moldus partent ? Ils ont pas aimé, eux non pluus ?

    Hermione : (désespérée) Malfoy, Malfoy… Malfoy (posant une main sur l’épaule du dit Malfoy, qui la retire aussitôt) Tu n’es pas blond pour rien, toi, hein.

    Draco : Bah non… je suis blond parce que je suis un Malfoy, (méprisant) petite idiote

    Theodore : (soupire) J’ai pas vraiment envie de dormir ici, moi… on part ou pas ?

     

    Blaise : Moi j’aime pas ne rien voir ! Parce qu’on voit rien et qu’on sait pas ce qu’on voit pas.

    Theodore : Normal… puisque tu ne le vois pas.

    Hermione : Les lumières vont se rallumer dans quelques minutes… patientez un peu, abrutis.

    Draco : Attend ! (sors sa baguette)

    Theodore& Hermione: NOOOOOOON!

    Draco: Lumos.

     

    Face à cette nouvelle, et étrange, source de lumière. Les moldus se retournent et remarque les cinq jeunes (sorciers). Enfin surtout quatre : Ginny, Draco, Hermione et Blaise qu’ils avaient découvert au cours du film. Theodore se sent soudain… heureux d’être un fantôme dans l’histoire.

     

    Theodore : Je serais vous… je commencerais à courir. J’dis ça… j’dis rien.

    Hermione : Nott, profites de ce que je vais dire… ça risque pas de se reproduire.

    Theodore : (l’imitant) Mon Dieu ! Mais tu as raison Theodoreeeeeeee !

     

    Ils prennent (presque) tous leurs jambes à leurs coups, avant que les moldus ne reviennent de leur surprise.  Seul Theodore reste impassible, et avance tranquillement, mains dans les poches… heureux d’être seul… même si ce n’est que pour quelques minutes.

     

    Ysaline : Mpf… Jessica, Jessie, Bastien et Anna sont partis sans rien diiiiiiiiiiire !

    Mégane : On s’y attendait un peu, quand même.

    Ysaline : Noooooooooon !

    Djou : Sauf toi… mais toi tu comptes pas donc…

    Ysaline : (s’arrête net) STOOOOOOOOOOP !

    Mégane : (soupirant) Quoi… encore.

    Djou : (lève la tête et regarde là où Ysaline regarde) DEVAAAAAAAAAAAAANT ! DEVAAAAAAAAAAANt !

    Ysaline : (l’air innocente) Après on parle de moi hein. (Accusatrice) Méganouuu tu me dois des excuuuuses ! J’entendais pas des voiiiix !

     

    Mégane : (voit Theodore, ne calcule pas de suite) C’est qu’un… mec.

    Djou : Mégane ! Les yeux, c’est comme les oreilles : ça se lave ! Il était avec les auuuuuutres !

    Mégane : En général on va pas au ciné tout seul.

    Ysaline : (soupire ; dit à Djou) A trois on y va… Un… TROIIIIIIIS !

     

    Djou et Ysaline se mettent à courir comme des folles jusque Theodore, qui comprend alors que sa fin est toute proche et prends ses jambes à son cou. Mégane, elle, regarde la scène… perdue.

     

    Djou : Saute-lui dessus !

    Ysaline : Jettes lui une canette de coca ! Il aura mal et il s’arrêtera.

    Djou : Mais il aura mal ! Justement ! On fait pas de mal à mon frangin, non mais !

    Ysaline : Tu le prendras dans tes bras et le consoleras. Ce que t’es nouille.

    Djou : Ysa… la… (Ysaline tombe) marche.

     

    C’est un mal pour un bien : car elle atterrit sur Theodore

     

    Ysaline : Ysaline est la plus forte ! Ysaline est géniale !

    Theodore : (toussotant) Ahem.

    Ysaline : (lancée) Moldu : 1 ; Sorcier : 0. (prends une voix de jeux vidéos) Essaye encore.

     

    Mégane et Djou arrivent alors et font pour relever Ysaline qui ne prenait pas la peine de le faire elle-même

     

    Ysaline : Mais non ! Mais il est trop confortable, en fait. Vous voulez essayer ?

    Mégane : C’est pas un canapé.

    Djou : C’est THEODORE ! Alors tu lèves tes fesses de lui et tu…

    Theodore : Comment vous me connaissez ?

    Djou : T’as pas entendu des gens géniaux, autrement dit : moi… dire « Il n’est pas con » quand on disait que « Nott était con »

    Theodore : (soupirant) Dans quel merdier j’me suis fourré, moi.

    Ysaline : (sursaute) AAAH mais mon canapé parle !

    Theodore : (en parlant d’Ysaline) Serait-elle stupide ?

    Djou : Ca, pour le coup, c’est une question stupide. Bien sur qu’elle est stupide.

     

    Ysaline : (toujours assise sur Theodore) J’t’ai connu moins méchant.

    Theodore : Tu m’as connu ?

    Ysaline : Tu te souviens pas ?

     

    Ysaline : Alors t’as trompé la folle ici présente (désigne Mégane) avec moi. Et tu viens souvent chez moi, d’ailleurs.

    Theodore : Ahein. Pourquoi j’vais pas dormir à l’hôtel.

    Ysaline : (riant et lui ébouriffant les cheveux) Je pense pas qu’on puisse dire que nous… dormions.

    Theodore : Et moi j’pense pas qu’on puisse dire que nous… parlions. Si ? Non non… j’ose pas imaginer.

    Ysaline : Effectivement : on passe plus de temps à crier.

    Theodore : Tu m’aimes pas ?

    Ysaline : Je t’aime trop.

    Mégane : (montrant les crocs) Fais gaffe.

    Djou : (soupirant) Mais laissez Theoooo tranquiiiillleeeeuh

    Mégane : (à Ysaline) Si tu continues : j’te tue, toi.

    Ysaline : Je t’imagine mal me vouvoyer… ça fait vieux.

    Theodore : (toujours à terre) STOOOP ! Taisez-vous. (À Ysaline) Toi, relèves toi, j’suis pas un paillasson, un canapé, ni tout ce que tu veux… j’suis un pauvre Serpentard, innocent, qui n’a rien demandé à personne.

    Ysaline : (toujours assise… décidément) Tu veux pas que je te raconte tous tes exploits.

    Theodore : (à bout) Non ! Si ce sont les miens : je les connais. Blaiiiiiiiiiise, Dracoooooooooooo (se cogne la tête contre le sol) Même eux sont pas si chiant.

    Djou : (attrapes la tête de Theodore) Hey mais ça va pas ! T’es un Serpentard ! Pas un Elfe de maison ! (elle pousse Ysaline) Et toi : tu vires.

    Theodore : (enfin libéré) Merci (se dépoussière) Je pense que je vais y aller. Les autres doivent m’attendre (bas) ou pas (haut) Merci… beaucoup. Ravi de vous avoir… rencontré.

    Ysaline : Atteeeends ! On va t’accompagner. Comme ça on verra les autres.

    Theodore : (entre ses dents) Ils seront ravis.

     

    Theodore : Avant… j’aimerais savoir : laquelle de vous trois est la moins… folle.

    Ysaline : (sautant partout) Moi ! Moi ! Moi ! Moi !

    Theodore : (la chasse comme s’il chassait une mouche) Pas elle. (Regarde Djou et Mégane) C’est l’une de vous.

    Mégane : En même temps y a plus que nous.

    Theodore : (montre Mégane) Toi tu pourrais être la plus calme… mais tu ressembles trop à Granger… une horreur. (Regarde Djou) Donc c’est elle la plus calme.

    Djou : (ricane) Hun hun hun… ou pas.

     

    Theodore fais un pas en arrière pour partir… et les trois se jettent en même temps sur lui.

     

    Ysaline& Mégane & Djou : Tu vas te perdre

    Theodore : (résigné) Alors montrez-moi le chemin : mais lâchez-moi.

    Ysaline : (lui attrape encore plus fermement le bras) NA !

    Theodore : Elle m’éneeeeeeeeeeeerve.

     

    Ils se mettent en route. Quand soudain : ils se stoppent.

     

    Ysaline : Et s’il fait un arrêt cardiaque ! Qui fait le bouche à bouche ?

    Theodore : Y a pas de risque. Allez ! En route, mauvaise troupe.

    Mégane : Moi ! C’est moi !

    Theodore : J’en aurais pas besoin, j’ai dis !

    Ysaline : Mais Siiii !

    Theodore : Tu t’entendrais bien avec Blaise, toi.

    Ysaline : Blaise… tu sais que lui aussi est pas mal doué.

    Theodore : (faussement surprit) Ah tiens… Blaise aussi.

    Ysaline : Bien sur mon brave. (Compte sur ses doigts). Toi. Blaisou. Coco Blond. Voldy. Siri. Mumus. Ryry. Ronron. Gred. Forge, je sais jamais qui est qui mais bon. Sevy. Flintounet. Et euh… y a qui encore. (Regarde Mégane et Djou) Lee. Dean. Seamus. Zacharias…

    Theodore : (l’interrompant) D’accord d’accord. (Prends conscience de certains noms) Voldy ? Mais t’es tarée toi.

    Ysaline : Bah oui.

    Theodore : (en relève un autre) Zacharias. Smith ? L’enquiquinant Poufsouffle ?

    Ysaline : Oui oui. Lui-même.

    Theodore : Evites… il. Mieux vaut encore Flint. Pucey. Higgs.

    Ysaline : Pourquoiiiiiii ?

    Theodore : Comme ça. Comme ça.

     

    Entre temps : ils avaient reprit leur route et arrivent enfin au grand jour.

     

    Blaise : Theo ! Enfin on te retrouve !

    Mégane : (excitée) BLAI-mmmm

    Ysaline : (tapes sur la tête de Theodore) Tu la laisses parler !

    Theodore : Ca grouille de moldu, t’es pas un peu malade toi.

    Draco : J’commence à en avoir ma claque, là… on se casse vite fait pour boire un coup.

    Blaise : Avec Weaslette ? (la regarde, plein d’espoir)

    Ginny : (soupire) Soit.

    Ysaline : Ca tombe bien : j’ai soif moi aussi.

    Draco : tu comptes venir, toi aussi ?

    Ysaline : Bah oui… pourquoi pas ?

    Draco : On ne te la pas proposé.

     

    Ysaline se tourne vers Theodore et lui offre un sourire… qui veut tout dire. Un de ceux auxquels on ne peut pas dire « non ».

     

    Theodore : Draco… j’pense qu’il faudrait pas lui refuser

    Draco: Tu t'inclines? Une fille te domine? Une moldu te domine.

    Hermione: Du Malfoy tout cracher ça... Qu'est ce que ça change, qu'on soit 5 ou... plus.

    Theodore : (fataliste) Tu ne la connais pas. Elle m’a… traumatisé !

     

    Blaise : (bas, à Ysaline) Tu m’diras comment t’as fais, hein

     

    Draco: Puisque miss-je-sais-tout le décide. Vous v'nez.

    Mégane: Hey poli le blond! Qu'est ce que t'as contre les bons élèves?

    Draco: Rien... mais contre elle... tu dois l'savoir... puisqu'elle est ami avec Monsieur La Balafre, et que donc...

    Blaise: Tais toi Draco... on a pas envie d'être témoin de ta belle logique.

    Theodore : Y a que la mienne qui est bien !

     

    Ils partent vers un café… guidés par… les moldus

     

    Ysaline : Heureusement qu’on était là, hein.

    Draco : On aurait pu trouver tout seul.

    Ysaline : Bah oui mais… non.

    Draco : Si on aurait pu !

    Ysaline : Non vous n’auriez pas pu !

    Draco : Je te dis que si, la moldu !

    Ysaline : Et moi que non, le débile.

    Draco : Je suis pas débile ... et si on aurait pu

    Ysaline : Si tu l’es et non tu aurais pas pu.

    Theodore : Draco… évites de perdre ton temps. Même toi tu pourras pas gagner contre elle.

     

    Autour d’un verre.

     

    Hermione : Vous en avez pensé quoi du film ?

    Mégane : Le moins bien des six.

    Ysaline : Moi j’ai bien aimé la fin.

    Djou : La fin était à chier.

    Theodore : Tu trouves aussi.

    Djou : Ouaip… en plus la tête de Draco : parfaite pour illustrer.

    Draco : Ma tête vous emmerde hein.

    Djou : Moi aussi je t’aime, Draco.

    Draco : J’t’aime pas, moi.

    Djou : T’en fais pas : moi non plus. Je préfère Theodore, Blaise, Zacharias… bref les gens… intéressant.

    Theodore : Zacharias ?

    Djou : Smith. Un Poufsouffle.

    Theodore : Oui oui, je sais qui c’est.

     

    Mégane : Et donc.. Theodore… tu l’aimes vraiment pas ?

    Hermione : Il est stupide, arrogant, sur de lui, monsieur je sais tout.

    Ysaline : Donc il est pas stupide.

    Hermione : Euh… et il a une logique merdique. Et il… est un Serpentard.

    Mégane : Tu juges sur une maison. C’est paaas bieeen !

    Ginny : Des trois il est le moins stupide quand même.

    Hermione : C’est vite dit.

     

    Draco : Blaise… j’vais tuer ces moldus.

    Blaise : Moi j’aime bien la surexcitée.

    Draco : C’est laquelle des trois.

     

    Djou : Tu sais Theodore, on te voit pas dans les films et on sait à peine que tu existes dans les livres…

    Theodore : Pourtant vous m’avez sauté dessus.

    Djou : Techniquement parlant… non. Ysaline t’es tombée dessus.

    Theodore : Ca revient au même.

    Djou : J’avoue… Enfin bref. Là où je veux en venir c’est… Dans le monde des « fanfictions » tu es présent… et tu te fais assez, beaucoup souvent, régulièrement tuer.

    Theodore : Sympa…

    Djou : Et je voudrais savoir… comment tu voudrais mourir ?


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