Assis, prêt à partir. En train d’écrire. Droite sur sa chaise, avec un balai mal placé. Accoudé sa table, gribouillant sur un parchemin. Avachis sur sa chaise en train de se relire. Se rongeant les ongles en guise d’occupation. Se parler du regard pour se rassurer mutuellement. Se sourire pour montrer notre soutien. Jouer avec sa plume pour passer le temps. Différentes manières de passer le stress, l’ennui…

Le DONG final.

Les chaises raclant le sol, et les soupires rassurés des candidats aux B.U.S.E.S qui pensaient que jamais la fin n’arriverait. Les rires qui d’ores et déjà retentissent remet la joie dans les cœurs, et font baisser le stress.

Le bruit stressant des tables grinçantes. Les tics et les tacs angoissants de l’horloge géante. Le bruit des plumes grattant le parchemin. La chaleur étouffante de la pièce close. Un sujet que l’on a mal révisé. La peur que le temps ne soit écoulé. La hâte que le temps ne soit écoulé. La crainte de tout rater. Le silencieux boucan de nos têtes vides dont les connaissances si maigres cogne les parois.

Le DONG final.

Les chaises glissant sur le sol. La cacophonie pourtant si mélodieuse. La chute libre de notre stress. La sortie de la salle. Les retrouvailles avec nos amis. Le sentiment d’avoir réussi…

Savoir que tout recommence le lendemain.