• Fiction en trois parties. La troisième partie (A comme Association et B comme Bonus) est associée à "A comme Association et Amour" qui n'est pas comptabilisée comme une quatrième partie (il s'agit simplement d'un long bonus).

     

    Partie 1 : A comme Association et comme Abruti

    Résumé : "Moi, j'ai compris qu'une vie quelconque n'est pas plus importante que la mienne. Je préfère vivre dix minutes de plus et tuer dix innocents que mourir." "Mais toi, aussi, tu es un monstre." "Et toi un idiot."

    Personnages : Theodore Nott, Zacharias Smith

    Statut : Terminée

    Se trouve aussi sur fanfiction.net

     

    Partie 2 : A comme Association et comme (presque) Amis

    Résumé : "Tu sais, Smith, si on m'avait dit que je finirais par t'apprécier... je pense que j'aurais liquidé la personne le disant et toi avec par la même occasion." "Et maintenant ?" "Maintenant, j'ai juste envie de me liquider pour oser penser ça." "Imbécile." "Idiot."

    Personnages : Theodore Nott, Zacharias Smith

    Statut : Terminée

    Se trouve aussi sur fanfiction.net

     

    Partie 3 : A comme Association et B comme Bonus / A comme Association et comme Amour

    Résumé : L'histoire aurait pu être autrement. Theodore, Zacharias, Justin... tous auraient pu avoir une autre histoire. Car souvent : les choses ne tiennent qu'à un fil.

    Personnages : Theodore Nott, Zacharias Smith

    Statut : Terminée

    Se trouve aussi sur fanfiction.net

     

    Lorsque la fiction aura intégralement été corrigée par mes soins (et très sommairement réécrite), un document pdf sera disponible


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  • Hi,

    Ca fait un moment que j'y pense et il serait temps que je le mette en pratique : corriger mes fanfictions et OS afin d'éliminer un certain nombre (et un nombre certain) de fautes. Au fil des années, faut pas se leurrer, j'ai quand même progressé en orthographe (et quand je vois ce que je faisais y a 4 ans voire plus : je me dis "heureusement, quand même !")

    Ca prendra le temps que ça prendra : mais ça sera corrigé. Par contre : je ne réécrirais pas comme je le fais pour Theodore Nott (donc il n'y aura pas des scènes en plus, des détails supplémentaires et tout ça...) c'est vraiment l'orthographe qui m'intéressera (mais je ne rêve pas : après il en restera... moins cependant)


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  • Personnages : Zacharias Smith ; Theodore Nott ; Theophile Nott ; Adam Smith ; Luma Smith ; Jam Smith ; Drago Malefoy ; Lucius Malefoy

    Résumé : Certains diraient que ce n'était qu'une coïncidence, d'autres que c'était  là un sacré coup du destin. Au fond, qu'importe ! Zacharias, jeune sorcier, doit apprendre à s'entendre et à ne faire plus qu'un avec sa magie afin de tromper deux grands chasseurs de sorciers... ses propres parents.

     
    A trouver aussi sur : Fanfiction.net 

     


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  •  Il y a ces personnes qui, même après des années à les côtoyer, continuent à nous surprendre tant dans leurs paroles que dans leurs actes et il y a les autres... ceux qui en un rien de temps sont rangés dans un coin de notre esprit, catalogués jusqu'à la fin. Zacharias Smith faisait et fait toujours partie de cette seconde catégorie tant on pensait pouvoir le connaître en un simple claquement de doigts. Quelques jours suffisaient, s'imaginait-on naïvement, pour faire le tour du personnage, connaître la moindre de ses rares facettes et ne plus pouvoir se dire être sincèrement étonné par ses réactions ou par ses propos. M'as-tu-vu, le jeune homme prenait un malin plaisir à toujours se mettre en avant, faisait son possible pour se faire entendre afin d'ensuite pouvoir imposer son point de vue. Nombreuses étaient les personnes à ne pas supporter le garçon mais rares étaient celles à véritablement le connaître.

     

    Existaient-elles seulement ?

     

    Zacharias était un jeune homme d'une petite vingtaine d'années. De grande taille, il avait des cheveux blonds qu'il gardait coupés courts et des yeux bleus que l'on reconnaissait sans le moindre mal. Il était réputé dans son village pour être cet étrange garçon à qui il devait, de manière quasi-systématique, arriver d'étranges choses lorsque le moment s'y prêtait le moins. Ainsi, il était celui qui était forcément dans les parages lorsqu'un incendie commençait à prendre, lorsqu'un arbre s'effondrait sur une boutique ou lorsqu'un accident de cheval survenait et faisait plusieurs blessés.

     

    Beaucoup autour de lui le disaient poursuivis par le Malin, chuchotaient sur son passage quelques remarques fort peu agréables voire même parfois éloignaient leurs enfants quand Zacharias passait près d'eux. A une époque où le diable était partout, à la moindre intersection de chaque village quel qu'il soit à la recherche de nouveaux partisans, voilà qui n'aurait rien eu d'étonnant compte tenu de qui étaient les parents du jeune homme.

     

    Fort heureusement pour lui, jamais les choses n'allaient plus loin. Personne n'osait directement l'accuser de pratiquer une forme quelconque de sorcellerie et il y avait peu de chances pour qu'un jour cela se produise.

     

    - J'ai entendu dire que tu avais encore réussit à mettre le feu chez toi, se moqua un homme d'un âge certain en voyant Zacharias passer hâtivement devant lui, tête baissée. Il est insensé que tes parents te laissent encore approcher de la cheminée pour autre chose que te réchauffer les mains !

     

    Un rictus moqueur eut tôt fait d'apparaître sur les fines lèvres du jeune pyromane qui venait d'être prit à partie et stoppé dans son élan. Le blond leva les yeux pour pouvoir, tout à loisir, dévisager son interlocuteur. Le dos bien droit, Zacharias toisait de toute sa hauteur cet individu qui, une fois de plus, avait daigné l'arrêter pour se permettre ces réflexions. Ce n'était pas la première fois que ce vieux fou s'y risquait et ça ne serait probablement pas la dernière.

     

    - Je pensais pourtant qu'ils avaient les pieds sur terre.

     

    Le jeune Smith fit claquer sa langue contre son palais afin de signifier son mécontentement ainsi que sa totale désapprobation. Tout le monde avait beau connaître le travail de ses parents, les apprécier et les respecter pour ça : peu les connaissaient en tant que personne. Adam et Luma n'étaient que très occasionnellement présent au domicile familial et préféraient laisser Jam, le frère de madame Smith, s'occuper de tout.

     

    C'était leur existence, et l'aura qui s'en dégageait, qui avait pu permettre à Zacharias de ne jamais directement être accusé de sorcellerie à une époque où soigner son prochain à l'aide de plantes médicinales pouvaient, en un rien de temps, vous condamner au bûcher. Mais c'était tout.

     

    Adam et Luma Smith s'étaient rencontrés très jeunes. On les avait pousser à se rencontrer très jeunes, pour être précis. Mariage arrangé plus que de sentiments comme il était coutumier de faire à l'époque : aucun d'eux n'avait eu son mot à dire dans l'histoire et ils s'étaient contenté d'obéir aux ordres donnés par leurs aînés.

     

    Sans être issue d'une quelconque noblesse, ne pouvant pas même prétendre à une quelconque appartenance à la petite bourgeoisie, leur famille respective avaient tout de même quelques possessions qu'ils n'avaient pas voulu voir disparaître. Quelques économies pour vivre de manière décente, heureux propriétaires de nombreuses bêtes, on avait voulu agrandir le troupeau et alourdir le porte-monnaie en mariant le fils avec la fille.

     

    Mariage avait été souhaité et mariage avait donc eu lieu. Alors qu'ils avaient pensé qu'un monde les séparait et que leur seul point commun était d'être chacun incapable de supporter le second, le hasard leur permis d'ouvrir les yeux. Quelques mois leur avait suffit pour s'arranger et pouvoir partir à l'aventure à travers le pays à la recherche de sorciers, sorcières et autres amis du Malin.

     

    Jam, le cadet de Luma, fût chargé bon gré mal gré de s'occuper des deux troupeaux réunifiés. Par la suite, il eut également à sa charge le petit Zacharias qui ne pouvait décemment pas accompagné ses parents dans leur chasse.

     

    - Mes parents préfèrent voyager à travers le pays que m'apprendre à être moins... dangereux, se moqua éhontément Zacharias. Vous le savez, pourtant, voyons Robert.

    - Ce sont des gens biens, rappela l'homme. Tu ne devrais pas parler d'eux de cette manière.

    - Plutôt que sans cesse partir à l'autre bout d'Angleterre pour tuer des sorciers, ils pourraient rester ici ; je suis certain qu'il y en a pas loin. Si j'étais un sorcier persécuté par deux personnes, j'irais me cacher là où ils ne sont jamais à savoir : près de chez eux.

     

    Robert fusilla le jeune homme du regard. Jusqu'alors, il avait compté parmi les rares personnes à apprécier un minimum Zacharias pendant quelques années, mais plus le blond vieillissait et plus il devenait difficile -pour ne pas dire impossible- de ne pas rejoindre l'avis général.

     

    - Jam fait de son mieux pour me rendre disons... moins dangereux, si ça peut vous rassurer, reprit le jeune Smith, sans se défaire de son ton moqueur. Mais entre nous : je doute qu'il n'y parvienne un jour.

    - Prions pour que tu te trompes, soupira le vieil homme en secouant la tête. Prions vraiment pour que tu te trompes. Tu ne te rends pas compte à quel point tu peux être dangereux, Zacharias. Crois-moi : il relève du miracle que tu n'ai encore tué personne.

     

    Smith ne faisait pas le moindre effort pour dissimuler son agacement et l'ennui qui lui procuraient ces douces paroles. Triste habitué qu'il était à ce genre de remarques, le temps ne les rendait pas moins blessantes et plus facile à supporter... tout au contraire même. Leur redondance l'exaspérait et le manque d'originalité dont faisaient montre les villageois n'aidait pas.

     

    Tous étaient convaincus du fait que Zacharias n'était ni plus ni moins qu'un danger pour autrui. Tous étaient d'accord pour dire que le blond n'était bon qu'à une chose : rester assit dans un coin, les bras croisés, à regarder sans rien toucher. On considérait comme absurde de vouloir le laisser seul... tout en jugeant que Zacharias était trop instable, dangereux et maladroit pour rester en compagnie d'une seule tierce personne.

     

    Le jeune homme devait vivre avec ces idées toutes faites sur sa personne et profondément encrées dans l'esprit des habitants. On supportait sa présent bien plus qu'on ne l'acceptait. Il était le fils Smith et n'était que ça, au final. Le dangereux fils Smith qu'on gardait auprès de nous pour plaire aux parents.

     

    Aussi blessant cela puisse-t-il être pour le fier garçon, celui-ci se gardait pourtant bien de tenter quoi que ce soit pour remédier à la présente situation. Zacharias savait qu'il était de très loin préférable pour lui qu'on le pense idiot et maladroit, préférable qu'on se satisfasse de ce genre d'explications simplistes. Tant que personne n'allait creuser plus profondément : il n'aurait pas à s'en faire. En revanche, si par malheur quelqu'un venait à s'y risquer, il y avait de très fortes probabilités pour que quelques secrets que Zacharias aurait préféré continuer à taire ne fassent leur apparition.

     

     

     

    Le jeune homme reprit sa route après avoir été chassé d'un bien agréable revers de main agacé de la part de Robert. Zacharias se dirigea naturellement vers la forêt, comme si personne ne l'avait stoppé dans son élan et retenu pendant de bien longues minutes. Avec grand plaisir, les rues qu'il traversa étaient déserte et personne ne vint donc le déranger.

     

    Plus il approchait des bois et plus le garçon aux cheveux blonds se sentait à l'aise, seul qu'il était. Cet endroit était son repère, son refuge. C'était le seul lieu où il pouvait un minimum relâcher sa garde, le seul lieu où il n'avait pas à se méfier de tout, le seul lieu où il était certain de ne pas entendre de "Attention, c'est le jeune Smith" ou quelque autres remarques. Zacharias pouvait aisément y passer des heures. Assit, les pieds dans l'eau, au bord du petit ruisseau qui traversait les lieux ; perché en haut d'un arbre à guetter les rares va-et-viens ; simplement allongé dans l'herbe à admirer les morceaux de ciel qui n'étaient pas dissimulés par les feuilles : Zacharias attendait que le temps passe, tout simplement.

     

    - Tu devrais rentrer, lança une voix moqueuse provenant des airs. Il y a d'étranges choses qui se passent dans cette forêt. Il paraîtrait qu'il y a des gnomes, des licornes et d'autres bestioles pas très commodes... voire pire que ça.

    - Rentre aussi dans ce cas, répondit Smith en cherchant son interlocuteur du regard. J'ai l'habitude d'être ici.

     

    Celui que Zacharias cherchait apparut sitôt la phrase du blond achevée. Fort habilement, le garçon quitta son perchoir, alors qu'il se trouvait encore à bonne distance du sol : le gêneur sauta dans le vide sans la moindre hésitation et se réceptionna sans trop de mal sur ses deux jambes. Un sourire radieux fût offert au jeune blond qui préféra lui répondre par un regard noir qui amusa davantage encore l'autre personne.

     

    En face de Zacharias se tenait un jeune garçon aussi jeune que lui, voire même davantage encore. On lui donnerait difficilement vingt ans ! La noirceur de ses cheveux accentuait la pâleur de ce visage que Smith peinait à détailler. Par un stratagème que ne parvenait à s'expliquer le blond, l'individu qui lui faisait front parvenait à sans cesse éviter que leur regards ne se croisent ou fermait les yeux au moment opportun. A croire qu'il cachait quelque chose.

     

    - C'est donc toi, murmura l'inconnu, nez en l'air afin de regarder d'où il venait de sauter. La magie... c'est toi.

     

    Zacharias était pétrifié sur place. La respiration lente, les bras ballants le long du corps, la bouche légèrement entrouverte : Smith regardait, hébété, celui dont il ne savait rien mais qui semblait, de son côté, en connaître bien trop à son sujet. Les yeux ronds comme des billes, le blond n'osait même plus ne serait-ce que cligner des yeux. Mieux valait ne pas perdre de vu cet illustre inconnu et se méfier de ce que celui-ci pourrait lui faire maintenant qu'il savait.

     

    Il ne pouvait pas savoir.

    Personne ne savait !


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  • - Smith est en bas. J'irais te le chercher une fois qu'on aura parlé toi et moi...
     
    La tête lourde, les idées pas encore tout à fait claire et ayant pourtant déjà un bon nombre de questions en tête : Theodore fronça les sourcils. Il dévisageait, sans vergognes, le sorcier qui se tenait debout face à lui. Le brun se demandait par quel miracle cette personne pouvait se trouver au pied du lit dans lequel il était allongé. Par quel miracle, également, avait-il pu atterir ici, dans cette pièce, sur ce matelas et couvert par plusieurs draps ? Il avait beau se douter que le dit "miracle" devait très certainement répondre au prénom de Zacharias : il espérait se tromper.
     
    - J'ai soigné ton blaireau. Je l'ai nourri, habillé et armé, énuméra le sorcier tout en foudroyant le blessé du regard. Dès que tu pourras tenir debout : je veux que tu dégages. Je me fiche d'où tu irais mais tu fous le camp. Je t'aime bien, Theo... franchement, il faut me croire quand je te dis que je t'aime bien... mais je ne veux plus jamais te revoir. Jamais... et ce : même si tu es, encore une fois, en train de crever. Entendu ?
     
    Après plusieurs secondes de silence, au cours desquelles Theodore avait enchaîné les grimaces tout en cherchant quelle pourrait bien être la première question qu'il poserait... il la trouva enfin !
     
    - Comment il a su où tu habitais ?
    - En plus d'être blessé serais-tu devenu idiot, Theodore ? Interrogea agressivement son interlocuteur en lui frappant la jambe. Quand tu es dans cet état, il faut croire que même Smith est capable d'entrer dans ton esprit... et de me trouver.
     
    _____
     
    - Pucey est plutôt sympathique... dans son genre... et pour un serpent... mais il est plus sympa que toi. Il a pas grand remarque.
    - Tais-toi et réponds-moi Smith : pourquoi suis-je encore vivant ? L'agressa Theodore sitôt réussit-il à interrompre le blond. Pourquoi sommes nous ici, précisémment ? J'avais pas été suffisamment clair pour tes neurones ?
     
    Un immense sourire vint éclairer le visage de l'ancien Poufsouffle au caractère détestable. D'emblée, le serpent regretta chacun des mots qu'il venait de prononcer. Il n'y avait pas à douter : les réponses qu'on allait lui fournir avaient de très fortes chances de ne pas lui plaire... vraiment pas.
     
    - Premièrement si je dois me taire je ne peux...
    - Commence pas sur ce terrain, Smith, siffla le brun. Je suis blessé, je ne suis pas d'humeur.
    - Bien, sourit l'autre. Donc... je vais passer au troisièmement qui est : tu ne vas pas me croire si je te dis que j'ai réfléchis...
    - Et tu n'aurais pas tord.
    - En fait, je me suis dit que si j'avais l'occasion de partir seul de chez Tu-Sais-Qui... alors j'avais sans doutes les moyens de ne pas partir seul... et si je partais seul alors que je pouvais ne pas partir seul, alors, d'une certaine manière, c'était comme si je te tuais.
     
    Theodore ouvrit et referma plusieurs fois la bouche. Sur le point de répliquer quelques choses au blond afin de lui montrer toute l'étendue de sa bêtise : Zacharias l'en empêcha pourtant en reprenant soudainement la parole.
     
    - Et je n'ai pas envie de te tuer, Nott, ajouta-t-il en lui attrapant la main et lui souriant. Au cas où tu l'aurais pas encore remarqué... j'ai besoin de toi en vie. Si t'es plus là : j'ai plus envie de fuir.
    - Si je ne suis plus là tu n'as surtout plus aucunes raisons pour fuir
    - Tu es d'un nul, Theodore, soupira Zacharias en levant les yeux au ciel. Et d'un cliché ! C'est phénoménal !
     
    Tout en parlant, le blond amena vers lui une chaise qu'Adrian avait installé quelques heures plus tôt dans la chambre afin d'y prendre lui-même place.
     
    - T'es le connard qui tue des gamins ou t'es une foutue princesse en détresse ? Il faut choisir, Theodore... et tout de suite. Tu peux difficilement être les deux à la fois.
    - Le connard et la princesse sont peut-être tout simplement fatigués... de se battre sans arrêt. Contre Tu-Sais-Qui, contre l'Ordre mais aussi contre eux-mêmes. Les deux veulent dominer l'autre, même la princesse comme tu l'appelles... Sauf que c'est pas possible. Ils sont fatigués. Je suis fatigué.
    - Tu es le connard qui tue des gosses, insista piteusement Zacharias en serrant davantage sa main. T'es le connard qui tue des gosses mais que j'apprécie et.
    - Et tu oses dire que je suis le cliché, cingla le brun.

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